Lu ceci hier soir. D'un trait. Récit sur le suicide de l'amoureux, sur les marques, les souvenirs, la culpabilité aussi, on s'en doute... Remarquable vision de la perte, du deuil. Je crois que ce livre est compagnon de grisaille certes, mais aussi symbole de renouveau.
Claudia Larochelle
Ils sont rares, les livres comme Lettre à Benjamin. Une parole constamment à la limite du hors-jeu, tant elle est brutalement honnête, dépourvue des éléments décoratifs qui, souvent, attiédissent la réalité. Chacune de ses 97 pages a été le fruit d’un arrachement et on le ressent. On se dit que la personne qui a rédigé ce texte, Laurence Leduc-Primeau, mériterait une médaille pour s’être rendue au bout de l’exercice.
Daniel Côté, Le Quotidien
L’entrevue
L’amour ne meurt pas ici. Il continue. Toujours un peu. Sérieusement! Belle découverte d’autrice.
Natasha Collin, leslecturesde.renarde
La critique
C’est une lettre poignante. Une lettre, qui nous laisse témoin du poids de l’incertitude mais aussi, témoin des tempêtes intérieures qui font rages. Une lettre débordante de douleur, d’amour.
pourcoeurlitteraire
La critique
Un récit épistolaire poignant et vrai, éblouissant d’honnêteté dans sa brutalité, qui ne donne aucune réponse, comme la vie elle-même.
Iris Gagnon-Paradis, La Presse
La critique
Une plongée vertigineuse dans la psyché d’une femme endeuillée à l’écriture fluide, fiévreuse, incarnée où s’exprime avec un éclat presque douloureux le pouvoir salvateur de la création.
Manon Dumais, Le Devoir
La critique
Ils sont rares, les livres comme LETTRE À BEJAMIN. Une parole constamment à la limite du hors-jeu, tant elle est brutalement honnête, dépourvue des éléments décoratifs qui, souvent, attiédissent la réalité. Chacune de ses 97 pages a été le fruit d’un arrachement et on le ressent. On se dit que la personne qui a rédigé ce texte, Laurence Leduc-Primeau, mériterait une médaille pour s’être rendue au bout de l’exercice.
Daniel Côté, Le Quotidien
L’entrevue
On vit dans une société où on a presqu'une obsession de masquer la mort, on arrive presque à faire croire qu'on ne mourra jamais, ou à faire croire que la mort ne fait pas partie de la vie. Je ne pense pas que ça nous aide et que ça nous équipe à faire face à la mort quand elle nous arrive.
Entrevue avec Marie-Louise Arsenault à Plus on est de fous, plus on lit, R-C
L’entrevue
Un livre juste et profond, dont on ressort bouleversé.
La Librairie du Tramway
La critique
Le récit est brut, cru. Il est décousu, abstrait, il ressasse. On croit lire un texte dont l’encre est encore humide. On sent, dès les premiers mots de l’autrice, l’urgence de dire provoquée par l’effarement du deuil [...].
Laurence Pelletier, Lettres québécoises
L’écriture de Laurence Leduc-Primeau est franche et sonne comme celle d’une amie avec laquelle on aurait une discussion autour d’un verre, sans filtre, sans maquillage.
Valérie Ouellet, Page par page
La critique
Ce livre d'une rare intensité, dans une langue sans artifice, au plus près de la voix, est aussi une réflexion sur la maladie et sur les moyens dont dispose la société pour éviter la noyade psychologique.
Lise Gauvin, membre du jury Ringuet, Académie des lettre du Québec