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Prendre corps

Catherine Voyer-Léger

Microrécits

Prendre corps n’est pas un livre comme les autres, c’est un livre-corps dans lequel la matière apparaît déprogrammée, morcelée. L’anatomie n’a ni ordre ni norme ; convoquée au moindre instant, elle a un vécu. Entre intimité et mémoire, larmes et désirs, ce projet d’écriture fragmentaire fait la confidence d’une expérience corporelle féminine et contemporaine. Des muscles aux sangs, des engourdissements à la douleur préhistorique qui s’irise, Catherine Voyer-Léger abolit la frontière qui sépare le superficiel du profond. Texte chaleureux, Prendre corps invite à devenir l’autre pour être soi, à pleurer et à rire selon chaque humeur, à penser le langage pour mieux panser la chair.

Sans folios, sans mode d’emploi, ce livre se vit.

 

LAURÉATE – PRIX JACQUES-POIRIER–OUTAOUAIS 2019

Parution: 20 mars 2018
272 pages, 9782924519776, 23,95$

Échos de la presse Prendre corps

Le corps vu par l'auteure Catherine Voyer-Léger à l'émission Les Malins sur ICI Radio-Canada Ottawa/Gatineau.
ICI Radio-Canada
En quoi consiste un corps? Telle est la question à laquelle tente de répondre Catherine Voyer-Léger dans son quatrième ouvrage [PRENDRE CORPS]. Par fragments poétiques, le livre propose des polaroids de l’intime et du quotidien de l’auteure tout en invitant le lecteur "à penser le langage pour mieux panser la chair"
Blogue ICI ARTV
"On n’a pas un corps. On est un corps." - Catherine Voyer-Léger
Daniel Côté, Le Quotidien
Elle met en lumière, avec Prendre corps, des cicatrices qu’on ne voit pas mais que l’écriture permet de révéler.
Karyne Lefebvre à Dessine-moi un dimanche, Radio-Canada Première
Quelque part entre l’anecdote éclairante, l’indignation, la mémoire et la réflexion, PRENDRE CORPS est aussi un livre politique, rappelant que le type de corps dont nous héritons définit ce à quoi nous pouvons rêver.*Le corps dont nous parle Catherine Voyer-Léger est en fait un corps en vie. Et son livre, un miroir tendu à tous ceux qui, comme mon ami, ne savent concevoir le leur qu’en machine infaillible. Nier que notre corps est cerné de frontières n’a jamais permis d’abolir l’échéance de la mort. Au contraire.
Dominic Tardif, Les Libraires
Essayiste et chroniqueuse, Catherine Voyer-Léger signe Prendre corps, un recueil de microrécits où le corps féminin, théâtre de la mémoire, se livre dans toute sa fragile beauté.
Lisanne Rheault-Leblanc, Magazine Clin d'Oeil
Les lectures marquantes de l'auteure Catherine Voyer-Léger dans La Presse+
La Presse +
Il y a quelque chose de fort sympathique dans cet ouvrage qui ne cadre pas dans les catégories traditionnelles. Ni roman, ni nouvelle, ni poésie, ce livre convaincra les lecteurs qui auront fait le pari de la nouveauté. Chaque page présente une courte histoire inspirée d’une partie du corps ou d’une réalité physique liée à celui-ci. Parfois poétiques, parfois narratifs, les micro-récits jouent sur les mots, offrent des réflexions, touchent ou surprennent.
Christine Turgeon, Les Méconnus - blogue littéraire
À lire doucement, en prenant le temps de savourer l’écriture et en s’arrêtant de temps à autre pour penser à son propre rapport au corps.
#LaFab | La Fabrique Culturelle
Ceci est mon corps | Lecture de PRENDRE CORPS de Catherine Voyer-Léger, sur le site L'Oreille tendue.
Benoît Melançon, L’Oreille tendue
Le corps est déconstruit, tourné et retourné sous toutes ses coutures avec une sensibilité qui n’a pour égal que tout l’humour qu’utilise Catherine Voyer-Léger pour en parler.
Le fil rouge
Une sorte de dictionnaire personnel pour s’aventurer sur toutes les surfaces du corps. Visage, épaule, ventre, sein et doigts. Tout part de soi et y revient de toute façon. Ce corps donné qui grandit, change, s’affirme, mute, se transforme avec les grandes étapes de la vie que tout humain doit franchir.
Yvon Paré, Littérature du Québec
Pierre-Luc Landry s'entretient avec Catherine Voyer-Léger à propos de la démarche derrière son essai PRENDRE CORPS.
Pierre-Luc Landry, TESSELLES
La voix de Catherine Voyer-Léger est plus poétique que jamais quand elle trace les contours du rapport souvent conflictuel avec son corps. Je l’ai lue comme on déchiffre une carte, une radiographie du soi, une émouvante entreprise d’appropriation ou de réappropriation de ce qui est beaucoup plus qu’une enveloppe.
Valérie Forgues, Nuit blanche, no 152, automne 2018
C’est une lecture qui fait du bien parce que Catherine Voyer-Léger met des mots sur des choses qu’on peut ressentir alors que nous ne sommes pas toujours en mesure de mettre des mots dessus.
Julie lit au lit / La lectrice philanthrope
Catherine Voyer-Léger réussit le pari de faire du physique la clé d’accès à la richesse intérieure.
Les lectures du mouton
Il est aussi intéressant, et peut-être plus fidèle aux intentions de Catherine Voyer-Léger, de feuilleter PRENDRE CORPS au hasard : on y trouve des anecdotes drôles, d’autres terriblement tristes, des petits poèmes ou de véritables mini récits, capables de parler à l’humeur d’un moment ou d’invoquer celle d’un autre instant.
A.V., Critiques en herbe
Ses micros-récits sont comme des post-it qu’on se devrait de lire chaque jour pour se souvenir le lien inconscient que l’on possède avec son corps.
Clara Lacroix, l'Éphémère
En décomposant les parties du corps d’une manière poétique et terriblement belle, Catherine Voyer-Léger nous fait ressentir des émotions pour chacune d’elles.
Le blogue Mes pages versicolores

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