La Peuplade

La Peuplade Livres

TÉNÈBRE

Paul Kawczak

Roman

Un matin de septembre 1890, un géomètre belge, mandaté par son Roi pour démanteler l’Afrique, quitte Léopoldville vers le Nord. Avec l’autorité des étoiles et quelques instruments savants, Pierre Claes a pour mission de matérialiser, à même les terres sauvages, le tracé exact de ce que l’Europe nomme alors le « progrès ». À bord du Fleur de Bruges, glissant sur le fleuve Congo, l’accompagnent des travailleurs bantous et Xi Xiao, un maître tatoueur chinois, bourreau spécialisé dans l’art de la découpe humaine. Celui-ci décèle l’avenir en toute chose : Xi Xiao sait quelle œuvre d’abomination est la colonisation, et il sait qu’il aimera le géomètre d’amour. Ténèbre est l’histoire d’une mutilation.

 

Kawczak présente un incroyable roman d’aventure traversé d’érotisme, un opéra de désir et de douleur tout empreint de réalisme magique, qui du Nord de l’Europe au cœur de l’Afrique coule comme une larme de sang sur la face de l’Histoire.

 

Paul Kawczak est né à Besançon dans l’est de la France. Il vit aujourd’hui au Québec. Ténèbre est son premier roman.

 

LAURÉAT, Grand Prix de la relève – Prix Bernard-Landry (volet création culturelle)

LAURÉAT, PRIX DES LIBRAIRES DU QUÉBEC 2021 | catégorie, Roman-nouvelles-récit

LAURÉAT, Prix littéraire des collégiens 2021

LAURÉAT, Prix des Rendez-vous du premier roman – Lectures Plurielles, sélection québécoise et franco-canadienne, 2020 

LAURÉAT, Prix Roman, Le Salon du livre du Saguenay–Lac-Saint-Jean

LAURÉAT, Prix des lecteurs L’Express / BFMTV

MENTION SPÉCIALE DU JURY, Prix des 5 continents de la Francophonie

FINALISTE, Prix Senghor du 1er roman francophone et francophile 2020

FINALISTE, Prix Première de la RTBF – Belgique

LAURÉAT, Prix littéraire de Trouville – France

FINALISTE, Prix Régine Deforges

FINALISTE, Prix Louis Guilloux 2020

FINALISTE, Prix l’impromptu du premier roman 

Parution: 23 janvier 2020
320 pages, 978-2-924898-49-9, 25,95$ | 19 €,
Droits vendus : Albanie | Dritan - Arabe | Al Arabi - Roumanie | Cartier

Échos de la presse TÉNÈBRE

★★★★ [...] un récit intelligent et magnifique, truffé d’images équivoques, sombres et profondes.
A.L., Le Soir
Un premier roman multiprimé, qui mêle aventure et désir, magie et sang.
La Libre (Belgique)
À lire cul sec.
François Angelier, Le Monde
Il faut rouvrir Au cœur des ténèbres, de Joseph Conrad (1899), pour mesurer l’intelligence de la relecture qu’en fait Paul Kawczak dans ce premier roman. Si les aventures de Marlow sur le fleuve Congo ne sont pas exemptes de critiques de l’entreprise coloniale, elles ne se départissent pas tout à fait des idéologies racistes qui l’étayaient. Kawczak parvient ici à conserver le souffle épique conradien et l’humour potache du marin mâtiné d’ironie. Mais il fait aussi de son roman un document précis sur la colonisation, y compris dans ses aspects les plus tus, notamment sexuels. Son personnage de géomètre belge est envoyé cadastrer le Congo – une mission « fluviale et sanguine, presque septicémique ». Et parvient en fait à un cadastre du monde, dans le détail des relations de pouvoir qui se nouent entre les hommes et les femmes.
Zoé Courtois, Le Monde
MAGISTRAL ★★★★ | «Récit de passions mortifères, d’amour sublimé, de catastrophes intimes et collectives, "Ténèbre" déploie avec force sa magie noire. Une grande part de la réussite du roman tient à ce que tous les fils du récit finissent par converger en une finale, disons, explosive.Aux commandes de ce roman sombre à l’écriture impeccable, dosant avec justesse l’action et la profondeur, les injustices et les vengeances, Paul Kawczak nous tient en haleine du début à la fin. Du grand art.
Christian Desmeules, Le Devoir
VIRTUOSE ★★★★ 1/2 |  Nous transportant de l’Afrique à l’Europe, de personnage en personnage, tous lié par des connexions secrètes dans cette rocambolesque et sanguinaire aventure, l’auteur nous attrape dans son filet et, tel un papillon de nuit obnubilé par la lumière, nous happe dans ce récit halluciné et hallucinant aux ramifications infinies, qui étend ses tentacules jusqu’à embrasser l’univers entier. Vertigineux, terrifiant, érotique et ardemment violent, traversé de magie et de sorcellerie, Ténèbre est un livre qui nous dévoile un auteur à l’élan romanesque féroce, voire virtuose. Impossible de ne pas y succomber.
Iris Gagnon-Paradis, La Presse
Camus a déjà écrit dans ses carnets : "Si tu veux être philosophe, écris des romans. On ne pense que par images." Et dans Ténèbre, Kawczak ne fait que cela, nous bombarder d’images saisissantes, qui nous font comprendre autant l’horreur que la beauté du monde, une vision d’autant plus tragique que ce monde semble irrémédiablement voué à sa perte. Comme si nous remontions encore plus loin vers la source du mal, tel Charles Marlow dans le roman de Conrad sur un fleuve au cœur de l’Afrique, en quête de Kurtz, ce chasseur d’ivoire devenu fou. Le tour de force de Paul Kawczak est qu’au bout de la lecture de Ténèbre, on a l’impression d’être devenu Kurtz.
Chantal Guy, La Presse
[...] un roman magistral, écrit avec le corps, le sang, les larmes, dans une langue fiévreuse et imagée. C'est un roman où les singes parlent, où les vipères embrassent, où la grande Histoire se laisse imprégner de magie et d'érotisme. Ça s'appelle TÉNÈBRE de Paul Kawczak, aux éditions québécoises La Peuplade. Vous ne mesurez pas à quel point c'est riche!
Augustin Trapenard à l'émission 21 centimètres sur CANAL+, France
C’est du Québec que nous arrive un des premiers romans les plus fascinants de l’hiver : Ténèbre, de Paul Kawczak. Il nous entraîne là où Joseph Conrad, présent dans le livre, situait le cœur des ténèbres, c’est-à-dire au Congo de Léopold II, à la fin du XIXe siècle.
Pierre Maury, Le Soir | Belgique
Ce livre écrit dans un style impeccable, hautement sensuel, maniant l’imaginaire et le réel avec fluidité sans jamais alourdir le propos ou la forme envoûtante, convoque plaisir et savoir, profondeur et légèreté.
Claudia Larochelle, Revue Les libraires
★★★★★ Pas sûr qu'on retienne facilement le nom de son auteur, un certain Paul Kawczak, universitaire et éditeur au Québec né à Besançon. En revanche, on n'est pas près d'oublier son premier roman, Ténèbre, un livre qui vous glace le sang et illumine ce début d'année littéraire de son fantastique pouvoir évocateur.[...] opéra grandiose, où érotisme, violence et destinée se déclinent dans une langue extatique teintée de réalisme magique. Ténèbre, ou «l'histoire d'un suicide blanc dans un monde sans Christ».
Marianne Payot, L’Express
L'équipe d'Esprit critique sur ICI ARTV discute de TÉNÈBRE de Paul Kawczak, un roman «d'une intelligence vertigineuse» selon Samuel Archibald.
Samuel Archibald, Esprit critique sur ICI ARTV
“Ténèbre” est un grand roman, un texte qui happe le lecteur par sa profonde folie, un récit porté par une voix singulière nourrie de grande littérature et de grandes images hallucinées. De par le récit d’une expédition africaine qui emprunte à Conrad, Paul K. nous attache au destin d’un bourreau chinois, maître dans l’art de la divination et du tatouage, qui s’éprend d’un jeune géomètre belge venu tracer les contours de l'État Indépendant du Congo au moment où la folie du caoutchouc s’empare des âmes européennes. Mais nous serons aussi bal(l)adés en Belgique, en France et dans la fantaisie surréaliste de ses visions.Horreur de la colonisation blanche, où derrière chaque homme se cache un monstre ordinaire, petitesse des grands hommes (nous croisons Baudelaire moribond et Verlaine ivrogne), tout se mélange, les corps deviennent les cartes de pays et les rêves des univers hallucinés comme les clefs d’un réel trop douloureux.À lire avec un verre d’absinthe au plus sombre de la nuit.
Les libraires de Lafayette Livres, Berlin 
Pour moi qui n’ai pas connu mon père, il y a aussi une projection personnelle... À travers la violence, j’ai voulu explorer l’idée sous-jacente de patriarcat, du point de vue d’un père sans fils. Comme Pierre Claes, le héros, n’a pas de père, il est discrédité de l’ordre patriarcal et essaie de compenser ce manque en s’engageant dans une aventure violente. Le modèle de l’aventure populaire au XIXe siècle, c’est souvent un jeune homme un peu diminué qui s’engage en aventure pour devenir un homme: par la violence et la spoliation du bien d’autrui, il va acquérir la reconnaissance d’autres pères. Mon protagoniste a ce désir-là, alors que finalement sa trajectoire sera plus spirituelle.
Geneviève Simon, La Libre (Belgique)
«C'est vraiment un premier roman remarquable!»
Bastien Vivès, Entrez sans frapper - La Première RTBF en direct de la Foire du livre de Bruxelles
J'ai été impressionné par le style de Paul Kawczak, par ses digressions, la qualité de ses descriptions, l'empathie qu'il crée autour de ses personnages. Il y a bien entendu un côté magique, presque hallucinatoire, porté par la moiteur du climat équatorial et les conditions d'hygiène de l'époque, source de maladie et de déliquescence physique et morale. Mais bien plus qu'une histoire de colonisation, "Ténèbre" est un roman pluriel où se conjuguent une multitude de destinées, évoquées avec un talent qui rappelle les grands romans de l'époque réaliste. Chapeau bas monsieur Kawczak pour ce grand moment!
Jean Grazzini, La Nouvelle Librairie Sétoise | France
L’une des forces de TÉNÈBRE est de proposer de nombreux personnages aussi étranges que fascinants. Tatoueur et bourreau chinois passé maître dans l’art de la découpe, parias européens réfugiés en Afrique… une foule de personnages fictifs y croise des figures historiques tels un Baudelaire mourant, un Verlaine se délitant ou encore l’explorateur Pierre Savorgnan de Brazza. Ces allers-retours entre l’histoire vraie et le fantasme, entre le Congo et l’Europe font de Ténèbre un roman que nous n’aurions jamais l’idée d’abandonner.
Entrevue par Stéphane Boivin pour CEUC - Communications étudiantes universitaires de Chicoutimi
Le roman tient vraiment par son brio, par sa langue, par quelque chose qui est quasiment viscéral. TÉNÈBRE de Paul Kawczak, pour moi, c'est vraiment l'incontournable de cette rentrée.
Grégoire Courtois de la Librairie Obliques sur Franceinfo.
Une autre critique illustrée par le blogue Mots (commentaires littéraires ordinaires), qui donne envie de plonger au coeur du roman TÉNÈBRE de Paul Kawczak.
Le blogue Mots (commentaires littéraires ordinaires)
TÉNÈBRE de Paul Kawczak : un premier roman exceptionnel | Vous avez manqué l'entrevue de Paul Kawczak, elle est maintenant disponible en ligne! Merci à Julie Larouche et l'équipe du TJ Extra ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Julie Larouche, TJ Extra ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean, Radio-Canada
Une plongée dans le Congo sauvage au temps de la colonisation. Un roman parcouru par une fièvre hallucinée, un embrasement charnel et une écriture virtuose!
Sarah et Hugues - Librairie Filigranes | Bruxelles, Belgique
Ténèbre est un grand livre, charnel, puissant, aussi lumineux que terriblement noir.
Alexandre, Un dernier livre avant la fin du monde
Servi par l’élégance d’une prose véritablement géniale et doté d’un art narratif empruntant aussi bien à Jules Verne qu’à Hemingway ou même à Poe, ce roman immense au romantisme sombre devrait vous hanter longtemps après avoir tourné la dernière page. Attention : chef-d’œuvre!
Philippe Fortin, librairie Marie-Laura (Jonquière)
Entrez dans cette fiévreuse et stupéfiante Ténèbre, l'un des grands romans de cette année! Explosif!
Librairie L'Ecume des Pages | Paris
«En étudiant l’érotisme dans le roman d’aventures, j’avais sous mes yeux la découpe humaine et la découpe coloniale de territoire : il ne suffisait plus que de les rapprocher. L’idée de TÉNÈBRE est ainsi née.» — Paul Kawczak
Charline Cauchie, Magazine Trends-Tendances | Belgique
Que ce soit dans la puissance d'évocation hallucinatoire comme dans les coups de fouet prégnants contre les instances ancrées dans leurs positions grâce à la violence (réelle ou symbolique), Ténèbre est un objet littéraire vénéneux, une boîte de Pandore qui place Paul Kawczak haut sur la liste des promesses à suivre. Pour peu que vous acceptiez qu'il n'existe pas d'antidote de sevrage à ce genre de fascinante charge virale, succombez!
Anne-Lise Remacle, Focus Vif | Belgique
La palme du « roman qui ressemble le moins à quelque chose qu’on a déjà lu » de cette rentrée 2020 revient à Ténèbre, de Paul Kawczak, dans lequel, en 1890, un géomètre belge est mandaté par son roi pour démanteler l’Afrique.
Dominic Tardif, Le Devoir
Dans les rivières, que serpentent les pages de ce magnifique roman, coule l'histoire d'une expédition plus grande que nature. Une grande aventure contemporaine sur la nature humaine et portée par un conteur de grand talent, teintée d'érotisme et de violence, digne des plus grands romans du genre. Entrez dans ce roman sans modération! Une grande lecture qui se démarque dans la rentrée littéraire de ce début d'année !
Billy Robinson - La Librairie de Verdun, Revue Les Libraires
Tous les mots sont galvaudés pour décrire un tel chef-d’œuvre! Une langue chatoyante, belle et inventive pour raconter ce Pierre Claes en manque d’amour qui se confronte à une Afrique meurtrie - Mais quel livre!!!!
Valérie Caffier, Librairie Le Divan | Paris
[...] c'est un roman d'imagination porté par une écriture extraordinaire.
David Cantin à l'émission Les Effrontées sur QUB Radio
Ténèbre est anormal,Ténèbre est écoeurant,Ténèbre est superbe.
Librairie Vent de Soleil | Auray, France
Une plume affûtée et tranchante.
Librairie Pax | Liège, Belgique
Bijou littéraire puissant! Broderie lyrique sur le parcours semblant chaotique d'un géomètre Belge missionné par le roi Léopold pour délimiter les frontières du Congo. Pour ceux qui n'aiment pas les romans d'aventures et ceux qui n'aiment pas les romans d'amour car Ténèbre de Paul Kawczak est bien plus que tout cela. Un texte à la foi truculent, merveilleux et fou qui transpire le DESIR et l'émancipation!
Librairie Quai des Brumes | Strasbourg, France
Viscéralement décolonial, TÉNÈBRE rend trouble la partition entre amour charnel et charnier et affirme une poésie fiévreuse et hallucinée que n’aurait pas reniée Baudelaire (en présence dans le roman). Un de ces textes qui ouvre en vous des abîmes, un des plus surprenants de cette rentrée.
Le Vif/L'express | Belgique
Une écriture puissante et sensuelle. Une très grande découverte.
Librairie Comme un roman | Paris, France
Un petit chef d'oeuvre.
Librairie Obliques | Auxerre, France
Un vrai grand roman d’aventure!
Philippe Fortin Villeneuve - Librairie Marie-Laura | Saguenay
Donner corps à l’horreur coloniale, conter sa cosmogonie comme un suicide, une torture érotique, chinoise, une remontée hallucinée du Congo. Dans une prose où la colère se mêle à la fantaisie, ou la réalité la plus renseignée devient magie, Paul Kawczak transmet une obsession du corps, de ses fécondités et de ses absences. TÉNÈBRE devient alors la parfaite incarnation de ce désir de destruction dessiné par la colonisation.
Blog de lecture et d'écriture La Viduité
Récit ambitieux, récit d'une perdition, époustouflant de noirceur, d'érotisme latent, de passions ensanglantées, Ténèbres se dévore, comme une interminable descente aux enfer, comme une métaphore fiévreuse, politique et charnelle des plus sombres pulsions des griffes d'une Europe civilisatrice. Une lecture hypnotique, folle ! Plongée brûlante, hallucinée, dans les profondeurs de l'humanité, sables mouvants de l'histoire où les corps se consument, les récits s’entremêlent avec malice, dans une odyssée romanesque lascive, cruelle et fascinante. Ténèbres déborde d'une puissance littéraire au souffle abyssale, de ces éclats noirs fulgurants, à l'épaisseur vertigineuse. On ressort de ce roman sonné, d'une réalité, d'un imaginaire débridé, d'une écriture au lyrisme incandescent qui explose les sens et nous colle à la peau. Définitivement. Merci M. Kawczak pour ce tour de force littéraire!!
Mat Lartaud, Decitre
Amélie Boivin Handfield, Samedi de lire, a eu le plaisir de s'entretenir avec Paul Kawczak. Ils ont parlé de son premier roman TÉNÈBRE et de ses coups de cœur littéraire.
Amélie Boivin Handfield, émission Samedi de lire | Montréal
C'est une lecture qui m'a rendue, mais alors, fiévreuse. C'est terrifiant et pénétrant en même temps.
Catherine Pépin, Un nomade dans l'oreille. ICI Musique. Émission du 25 janvier 2020, 00:50:00 | Montréal
Un 1er roman d'une virtuosité hallucinante [...]
Aurélie Barlet, libraire, La Pléiade
Kawczak rafraîchit le roman d'aventure dans un style fiévreux, à l'humour grinçant, dans une critique sentie du capitalisme, du colonialisme, de l'exploitation des hommes et des terres par les grands de ce monde. Un incontournable de cette rentrée hivernale!
Librairie Drawn & Quarterly | Montréal
«Au début, je pensais que ce serait un roman tout africain. Or, il porte sur la maladie de l’Europe, le capitalisme, le colonialisme, le sort du prolétariat à une époque caractérisée par le romantisme déçu et la mort de Dieu.»- Paul Kawczak
Daniel Côté, Le Quotidien
Qu’ont en commun un géomètre mandaté par le roi des Belges pour aller tracer les frontières du Congo en pleine période de colonialisme européen en Afrique, les «poètes maudits» Baudelaire et Verlaine et un Chinois maîtrisant le fin art de la découpe humaine ? Ces personnages se croisent tous dans Ténèbre, un roman teinté de réalisme magique qui s’annonce comme la surprise de cette rentrée québécoise. Paul Kawczak, un jeune auteur né en France qui vit désormais au Québec, signe ici un premier roman aussi terrifiant que sublime, qui ne laissera personne indifférent.
Iris Gagnon-Paradis, La Presse
Dans ce premier roman, Paul Kawczak revisite et dynamite le récit de voyage à la façon du XIXe siècle, pour en faire un livre baroque, oppressant, violemment érotique, d'une beauté barbare, servi par un style superbe.
Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo
Paul Kawczak démontre dans TÉNÈBRE que les humains sont marqués à jamais par la folie et la démence, un désir de mort qu’ils ne peuvent satisfaire que dans le sacrifice de tout ce qui est vivant. Ça donne mal à l’âme. Personne ne sort indemne d’une lecture semblable. Un texte écrit avec le sang africain et la fureur hallucinante des colonisateurs. Tellement que j’hésite à toucher ce roman et à l’ouvrir après l’avoir parcouru en retenant mon souffle. Comme s’il pouvait me donner les fièvres ou la malaria. L’impression d’avoir lu un livre où le mal s'enfonce et prend racines. Un parcours qui devient fascinant et bouleversant, comme l’horreur qui subjugue les vivants et permet tous les excès. Un roman qui échappe aux balises habituelles et qui vient vous surprendre dans votre sensibilité et votre intelligence.
Yvon Paré, Littérature du Québec
Finaliste au prix Première de la RTBF, en Belgique, et en première sélection au prix littéraire de Trouville, en France, Ténèbre, de Paul Kawczak, crée l'émoi avant même sa sortie, prévue le 23 janvier prochain.
Entrevue avec Marie-Louise Arsenault à Plus on est de fous, plus on lit, ICI Radio-Canada Première
TÉNÈBRE: un roman qui retient l'attention.
Entrevue avec Frédéric Tremblay et Catherine Doucet, Radio-Canada Saguenay-Lac-Saint-Jean à l'émission C'est jamais pareil
Lire TÉNÈBRE dans le soleil fou du matin... Voilà un joyeux paradoxe qui illumine ma journée! Et que dire de cette proposition de La Peuplade! Un roman d’aventure enlevant et fichtrement bien écrit! Une proposition rafraichissante dans le paysage littéraire québécois. Paul Kawczak est définitivement un grand, grand conteur! [...] Un roman d'aventure sur fond de colonialisme doté d'une belle dose d'humour. Ajoutons à cela une écriture intelligente et des personnages pour le moins originaux! Vous avez là tous les ingrédients pour passer un fabuleux moment de lecture. Un premier roman qui aura de quoi vous épater! Promis!
Le blog Carnet d'une libraire
Quelque part entre "Au cœur des ténèbres" de Conrad et "Les Saisons" de Pons, TÉNÈBRE trouve sa voie, réinvestit le roman d'aventure du XIXème siècle, mystérieux, sombre et quasi métaphysique, en y incorporant une charge anticolonialiste implacable. Mené par une plume alerte, pleine de rythme, sachant se faire anguleuse ou sensuelle, ce récit a toute la force des grands romans.
Andréas Lemaire, Librairie Myriagone | Angers, France
Bijou puissant […] Broderie lyrique sur le parcours semblant chaotique d’un géomètre Belge missionné par le roi Léopold pour délimiter les frontières du Congo. Pour ceux qui n’aiment pas les romans d’aventure et ceux qui n’aiment pas les romans d’amour, car TÉNÈBRE de Paul Kawczak est bien plus que tout cela. Un texte à la fois truculent, merveilleux et fou qui transpire le désir et l’émancipation.
Librairie Quai des Brumes, Strasbourg
TÉNÈBRE est un premier roman d'aventure stupéfiant qui distille un érotisme sombre. Laissez-vous glisser doucement dans l'effroi de la colonisation européenne en Afrique, osez changer de peau ! La piqure sera subtile et atroce. TÉNÈBRE est un livre virtuose et vénéneux au risque de franchir certaines limites.
Éric Chouan, Mission encre noire, CHOQ.ca
Tout est réussi dans ce roman : le traitement de la colonisation, la mise en scène d'un érotisme mystique, l'amour, la mort et l'aventure ! Et pour un premier roman, c'est tout simplement dingue, ça fait un moment que je n'avais pas eu un tel sentiment de lecture !
Kim Dagron, Ombres blanches, Toulouse
Gros choc de lecture […] Vraiment, une lecture qui marque, un livre comme on en lit un ou deux maximum par an et dont on sait déjà qu'il nous accompagnera désormais. Magnifique et révoltant, splendide et répugnant, bref, un chef d'œuvre.
Eric Pessan, écrivain
L'histoire est prenante, les personnages forts et l'écriture, le style cristallise parfaitement l'époque décrite. Paul Kawczak est un digne héritier de Joseph Conrad! Assurément un de mes coups de cœur de la rentrée de janvier.
Frédéric Nève, Librairie Molière, Charleroi
Attrapée, admirative, intriguée, dérangée, subjuguée, marquée...[…] Un roman qui va rester dans mes souvenirs de lecture, un moment de la colonisation que je ne connaissais pas. Et bon sang, certains passages sont à lire à voix haute, pour soi et pour les partager tellement ils sont  "simplement" beaux !
Caroline Gelly, Librairie Le chat Borgne, Belfort
C'est l'expérience d'une écriture ciselée et furieusement enfiévrée qui nous fait tour à tour ressentir la chaleur suave des désirs et des amours qui sourdent par tous les pores de cœurs et de corps qui s'en consument, les frissons de la grande aventure au bout du monde, dans les territoires sauvages d'un Congo dont il s'agit d'établir les frontières, et... les sueurs froides et les humeurs mélancoliques des horreurs laissées derrière elle par l'Europe colonialiste du 19è s. [...] Avec tout du long une atmosphère moite qui vous colle à la peau et ne vous lâche plus, un je ne sais quoi de magnétique, hypnotique, lascif et fascinant. Un 1er roman coup de poing !
Nikita Gilles, Librairie Flagey, Ixelles
Ce qui est remarquable dans le roman, c'est la limpidité avec laquelle il avance ! […] c'est un roman très juste qui sent l'aventure et l'horreur coloniale avec folie et passion !
Simon Gémon, Librairie Atout Livres, Paris
TÉNÈBRE, qui connaît son Conrad et se donne à lire comme un roman d’aventures de nausées et de fièvres, rouvre les chairs de l’Afrique coloniale : de cette plaie purule toute l’horreur de l’homme blanc en phase terminale. TÉNÈBRE est une charogne gonflée de poésie, une quête hallucinée et sans retour. Superbement écœurant !
Hugo Latreille, Librairie Vent de soleil, Auray
Un roman d'aventure  exaltant qui nous raconte une histoire épique, entre imaginaire et réalité historique. Un style puissant et extraordinairement sensible et d'une acuité percutante.Et puis je crois qu'avant toute chose, c'est une lecture complètement hypnotique aux effets troublant et magique. On souffre, on transpire, on palpite, on frissonne de plaisir. On vit cette expérience magique de ne plus rien contrôler. Franchement c'est mystique.
Elodie Murzi, Librairie Ici, Paris
Pendant la lecture, on suffoque, on blêmit, on sue, confronté à l’enfer de la colonisation et les ténèbres de l’âme humaine.Après la lecture, la certitude d'avoir lu un extraordinaire roman d’aventures d’une noirceur addictive et d’une qualité littéraire immense.
Alain Bélier, Librairie Lucioles, Vienne
Ce livre est tellement fort, tellement intense qu’il vous laissera sans voix ! Une lecture hallucinante qui va vous conduire au cœur des ténèbres. Porté par une écriture fluide, Paul Kawczak réussit plus qu’un exercice de style, il fait œuvre.
Nicolas Javaux, Librairie Pax, Liège
Formidable roman d'aventures qui ne cesse de surprendre de par son ambition et sa démesure exceptionnelle. On pense à certains films d'Herzog, mais aussi aux ténèbres de Conrad. Un coup d'éclat.
David Cantin, Libraire à la Coop Zone et chroniqueur aux Effrontées à QUB
Un brillant roman d'aventure qui nous entre dans les veines comme une drogue sous la torture.
Louis Gagné, Librairie Raffin, Montréal
À l'image de ses personnages, "Ténèbre" est un livre charnel, désespéré, exalté, qui suinte d'humeurs et de transpiration. C'est le tableau grouillant d'un XIXe siècle malade, halluciné, en état d'ébriété, de délire mystique et poétique permanent. Hommage décalé au Coeur des ténèbres de Conrad, le pastiche trouve sa propre force dans une galerie de portraits splendides et misérables, dans l'évocation de tous ces pauvres êtres meurtris par l'amour et qui courent à leur perte avec panache.
Grégoire Courtois – Librairie Obliques | Auxerre, France
Paul Kawczak a un talent romanesque rare. Son pouvoir d'évocation est exceptionnel. L'écriture est souple (jusqu'à la gymnastique). Les personnages sont riches (Xi Xiao est fascinant).
Donald Servais, Librairie Pantoute | (St-Roch) Québec
J'ai été complètement happé! Ce roman est parcouru par une fièvre hallucinée, un embrasement charnel et une écriture virtuose.
Bodart Hugues – Librairie Filigranes | Bruxelles, Belgique
La force narrative du roman est si puissante que l'on pourrait continuer à en lire des pages et des pages en plus. Un roman d'aventure exaltant qui nous raconte une histoire épique, entre imaginaire et réalité historique. Un style puissant et extraordinairement sensible et d'une acuité percutante. Et puis je crois qu'avant toute chose, c'est une lecture complètement hypnotique aux effets troublants et magiques. On souffre, on transpire, on palpite, on frissonne de plaisir. On vit cette expérience magique de ne plus rien contrôler. Franchement c'est mystique. […] J'ai voyagé. J'ai trippé quoi. Quel livre!
Elodie Murzi, Librairie Ici Grands Boulevards | Paris
Pendant la lecture, on suffoque, on blêmit, on sue, confronté à l'enfer de la colonisation et les ténèbres de l'âme humaine. Après la lecture, la certitude d'avoir lu un extraordinaire roman d'aventures d'une noirceur addictive et d'une qualité littéraire immense.
Alain Belier – Librairie Lucioles | Vienne
Ce qui est remarquable dans le roman, c'est la limpidité avec laquelle il avance! […] c'est un roman très juste qui sent l'aventure et l'horreur coloniale avec folie et passion!C'est ça qui est fou […]!Et pourtant il y a aussi évidemment de fortes théories et pensées sur la colonisation, l'Europe etc. Que tout soit réuni dans ce roman et que ce soit si limpide, c'est très fort!
Simon Gémon – Librairie Atout Livre |Paris
J'ai adoré. Grand roman d'aventure, d'une poésie folle et sensuelle, férocement politique. Et alors, quelle écriture, du premier au dernier mot c'est incroyablement maîtrisé (et pourtant je déteste cette expression). Un récit fou dont l'auteur ne lâche jamais la bride.
Antoine Jarrige – Cultura Bègles | Bègles, France
Sauvage aux premiers temps de la colonisation belge, cette épopée hallucinée nous emmène par des sentiers étranges et dérangeants. Beau, poétique, étonnant, un roman à ne pas manquer.
Paco Vallat – Librairie Terre Des Livres | Lyon
Je commence ici mes chroniques de la rentrée de janvier avec l’un de mes plus gros coup de cœur. Et pas seulement de cette rentrée, mais de toutes mes lectures passées.C’est un conte cruel et fascinant que nous propose les éditions de La Peuplade pour ce début d’année. Un roman hallucinant et virtuose, furieusement politique, écrit avec le sang de l’Afrique où chaque personnage, admirablement incarné, est une plaie ouverte errant sur ces terres. Une épopée sauvage et magistrale qui vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière page.Un livre à lire et à offrir. Absolument !
Antoine, Bonnes feuilles et Mauvaise herbe
Un 1er roman d’une virtuosité hallucinante [...].
Aurélie Barlet, Aire(s) Libre(s)
C'est un premier roman à surveiller parce que tout le monde va en parler. Ça va être en lice pour tous les grands prix, je vous l'assure. Les critiques sont unanimes autour de Ténèbre. [..] On a l'impression d'être dans "Jumanji" ou "L'histoire sans fin". Vraiment pas banal.
Claudia Larochelle, Téléjournal 18h00 | Radio-Canada
Il y a une très, très, très, très bonne nouvelle qui anime le milieu littéraire en ce moment. Ça porte un titre et c'est TÉNÈBRE, écrit de main de maître par Paul Kawczak. Un nom à retenir! [...] C'est un premier roman et je vous le dis, c'est un chef d'oeuvre!
Marie-Noëlle Blais, ICI Première/Région zéro 8 
[...] un grand roman d’aventure avec des personnages au charisme particulier. Ainsi Pierre Claes, le géomètre chargé de tracer les nouvelles frontières des territoires Belges, Xi Xiao, bourreau chinois détenteur d’un art unique dans le tatouage et la mutilation, deux hommes aux destins intimement liés.Car TÉNÈBRE est un roman d’aventure charnel, dans tous les sens du terme. Un texte où la peau a une importance réelle, que cela soit pour sa couleur, noire, cuivrée, blanche, comme toile où l’art de Xi Xiao s’exprime. La peau que l’on caresse, que l’on découpe et que l’on goûte. C’est un récit teinté d’érotisme, un texte magique et poétique.
Evadezmoi, blog français
C'est sûrement l'une de mes meilleures lectures de ces dernières années et ce livre va rejoindre de ce pas mon top 10 de mes lectures préférées. [...]Ce récit est servi par une plume incroyable, magnifique, parfois extrêmement violente, parfois incroyablement poétique et sensible. L'équilibre entre les différentes composantes du récit et le contexte historique est parfait. C'est clairement un roman qui marque. Le lecteur encaisse, au fur et à mesure des péripéties, jusqu'à ce final qui semblait inéluctable.Vous l'avez compris, c'est un roman que je recommande absolument. Il est impossible de lâcher ce livre une fois le nez dedans.
Aurélien de lecteurs.com
C'est un roman puissant, cruel et d'un érotisme à couper le souffle!
Katia Courteau, (Librairie Le Port de Tête, Montréal), La Librairie Francophone
L’aventure, complètement imaginée, entraîne ses personnages colorés dans une expédition au Congo, où l’amour, le désir, la douleur et la mort ne sont jamais très loin.
Marie-France Bornais, Journal de Québec
Un incroyable roman d'aventures, de fièvre et de sang, sensuel et halluciné, écrit dans une langue éblouissante.
Michel Sanche, Librairie Libellis à Narbonne, dans le Midi Libre.
Ce roman n’est en rien ordinaire; ni linéaire, ni ordonné. Il est un récit emprunt d’une sensualité animale à la fois réaliste et onirique dans lequel l’humeur et la bile rendent l’ivresse de la conquête et portent la tragédie de tout un peuple. Inutile de croire que ce livre ne vous chamboulera pas. Le talent de Paul Kawczak remédie à l’indifférence et enserre jusqu’à la moelle nous entraînant dans les profondeurs intimes de ses personnages. Ce livre est sans nul doute un écrit renversant tant par la qualité de sa langue que par la richesse de son contenu. Une lecture exceptionnelle.
Au fil des livres
Un livre qui brûle longtemps en nous, comme une fièvre, un ébranlement des sens.
Marise Belletête, La Recrue
Il se rappelait, adolescent, avoir lu l’histoire d’un homme qui, portant en permanence un veau dans ses bras, en était venu, au fil des ans, à porter un taureau sans effort, par simple accoutumance. L’image l’avait laissé songeur, puis il n’y avait plus repensé. Ce veau, il le savait maintenant, était sa peine. Il n’avait jamais pu s’y accoutumer et n’avait eu d’autre choix que de se jeter dans la gueule, grande ouverte, du Congo-Minotaure.
Marianne Loing
Dans ce premier roman au souffle puissant qui mêle histoire, aventure, romance et mysticisme, Paul Kawczak nous raconte la lente décomposition d’un humanisme moribond à travers l’histoire d’un homme et celle d’un pays, le Congo violenté, pillé, morcelé. Le verbe est beau, la phrase surprenante, la langue ciselée, jouant de l’art subtil de la métaphore et de la poésie pour nous plonger dans une narration captivante, véritablement hypnotique, où se côtoient terreur et passions, douleur et désirs.
Stéphanie Loré, Profession-Spectacle
Avec une écriture à la fois lyrique et réaliste, envoûtante et puissamment évocatrice, Paul Kawczak tient son lecteur en haleine, tissant des fils subtils qui unissent les personnages et les enferment dans le piège d’une toile d’araignée venimeuse. Absolument hypnotique.
Onlalu
Coup de cœur de La Géosphère pour le roman TÉNÈBRE de Paul Kawczak.
La Géosphère
[La langue] de Paul Kawczak est profuse mais précise, fourmillante d’absolu et de symboles encore à demi mystérieux, mais ancrée malgré tout dans les chairs, le sol et les sensations du monde. De la sorte, ce jeune écrivain franco-québécois parvient à réaliser le programme délicat des grandes œuvres littéraires : forger un texte radicalement singulier, dérangeant de nouveauté et pourtant intimement vécu comme familier. Et c’est par le corps que le texte de Kawczak gagne son lecteur, forcé de sentir la détresse et l’obscénité de ces hommes par tous les pores de sa peau.
Mathilde Van Roy, nonfiction.fr 
Un roman très, très noir. C’est probablement mon coup de cœur de l’hiver. C’est vraiment un premier roman exceptionnel. […] C’est une fable anticolonialiste qui est vraiment très puissante. C’est aussi un roman d’aventures. J’ai adoré.
Marc Cassivi, Pénélope sur ICI Première
On m’avait dit que c’était formidable, c’est encore mieux que ça. Un livre sur des hommes qui veulent découper le monde – découper les territoires, découper les corps – pour le cartographier afin de le comprendre, de le posséder, de ne plus s'y perdre. De la France au Congo, du passé au présent de narration, de l'écriture à la structure, Ténèbre de Paul Kawczak est systématiquement brillant, tout en transpirant la souillure. C’est aussi un grand roman sur la peau, qui aborde sa couleur et le racisme afférant, sa texture et sa fragilité face à la maladie, sa nature d’enveloppe et ce qu’elle cache, mais aussi la manière dont on peut en changer ou recouvrir celle-ci de tatouages pour cartographier cette fois, non pas le monde, mais l’existence humaine. Un grand roman d’aventure poétique, violent et passionnant.
Benjamin Fogel 
Voici l'histoire d'un tracé officiel commandé par le roi des belges Léopold II, qui n'est pour Paul Kawczak (auteur époustouflant !) que le prétexte de bien d'autres sillages : arabesques folles longeant les cicatrices des lignes de vie de ses personnages, foisonnants, inoubliables, et arabesques tourmentées dont la beauté sidérante vous ouvre les portes de l'âme, passant par le coeur jusqu'à toucher son fil vital. Ce n'est pas un livre d'Histoire, mais un livre fait des histoires entremêlées de personnages qui rêvaient de sentir sous leurs dents le goût de l'aventure, qui n'imaginaient pas toujours qu'elle aurait le goût du sang.
Librairie l'arbre à lettres, Paris
Ténèbre est un objet littéraire impressionnant, comme les territoires qu'il traverse et les hommes qu'il dépèce. On y découpe une Afrique violée comme on y abîme des corps sans pitié. Un roman d'aventure et de folie gargantuesque, qui rend le lecteur extatique et complice d'un jeu de massacre. Le verbe y est sublime, le roman devenant inexorablement charnel et sensuel. Ce voyage au cœur des ténèbres, sur fond de racisme barbare et de décomposition de l'humain, est éblouissant de poésie.
Nicolas, Librairie Le Vent Délire, France
Roman d’aventure où l’horreur se mêle à la beauté, le désir à la douleur, TÉNÈBRE est aussi un roman historique passionnant d’où ressort toute la barbarie de la colonisation… Un texte original et intriguant!
Marianne K. de la Librairie Les Lisières en France
Quelle claque ! Paul Kawczak (ne me demandez pas comment se prononce son nom) frappe très fort avec ce sublime roman d'aventures. C'est sûrement l'une de mes meilleures lectures de ces dernières années et ce livre va rejoindre de ce pas le top 10 de mes lectures préférées.
Aurélien Rizzon, L'Express
Le livre aurait pu nous parler du Congo, aurait pu en faire un portrait du temps de la colonisation, simple, direct. Mais non, il a fallu que l’écrivain se donne pas qu’un peu pour en faire une œuvre d’envergure. Quel roman! Tout est miroir, alambiqué et finement passé au peigne d’un romantisme macabre. Le récit se dévoile dans une suite de nuances, de clairs-obscurs, tant au niveau de sa forme que de son intrigue.
Sébastien Ste-Croix Dubé, écrivain
Onirique et charnel, voilà un singulier et extraordinaire récit d'aventures, de découpes et d'amours fous au coeur des ténèbres.
Frantz Hoëz, L'Obs
Ténèbre est un récit de la découverte de soi, de ses propres peurs et noirceurs : passé et avenir, surface (des corps) et profondeur (de l’âme), tout se mêle et envoûte. Nous accompagnons Claes dans ses rencontres, avançons dans un voyage intérieur troublant, emportés par une écriture ciselée.Le roman peut déranger parfois, mais entraîne, toujours!
Comité de sélection du prix littéraire Régine Deforges 2020
Paul Kawczak offre un incroyable roman d'aventure avec Ténèbre, son premier roman! Avec une écriture envoûtante, l'auteur tient le lecteur en haleine, dans cette épopée exaltante au cœur du Congo colonisé, entre imaginaire et réalité historique. Traversé d'érotisme, un opéra de désir et de douleur tout empreint de réalisme magique, qui du Nord de l'Europe au cœur de l'Afrique coule comme une larme de sang sur la face de l'Histoire.
Archambault
Son passage au salon a eu lieu au début de mars, moment où TÉNÈBRE récoltait les fruits d’une critique largement favorable. Depuis, il y a eu la crise sanitaire. Les librairies ont temporairement fermé leurs portes, ce qui n’empêche pas le roman de vivre autrement.
Daniel Côté, Le Quotidien
Les personnages sont extrêmement forts, l'écriture est absolument fabuleuse, tout est réuni!
Pénélope McQuade, Pénélope (ICI Première)
[...] c'est très exotique. On est vraiment ailleurs. Pour les gens qui rêvent d'aventure dans le confort de leur foyer, c'est parfait!
Chrystine Brouillet, émission Salut Bonjour
Un premier roman qui m'a littéralement envoûtée. Nous partons sur les traces d'un géomètre hanté par son passé, en expédition au Congo belge à l'époque de sa colonisation, avec les exactions qui l'ont accompagnée. Dans ce roman d'aventures, d'amour et de possession, flirtant avec le surnaturel, et peuplé de personnages saisissants, on reste sous l'effet des images fiévreuses que fait naître l'écriture romanesque et talentueuse de Paul Kawczak.
Sandrine Babu Librairie L'instant, Le Figaro
La moiteur de l’atmosphère africaine est palpable, les démons des personnages rôdent, la cruauté et la bêtise humaine nous éclatent au visage. Poétique et sensuel, ce premier roman est le reflet juste d’une des périodes les plus sombres de notre histoire. Ténèbre est brillant, l’écriture est somptueuse. Un auteur à suivre…
Laure, Librairie Charlemagne, Charlemagne La Seyne 
Il y a bien plus à dire sur cette histoire complètement hallucinée, on signalera simplement : ce premier roman est vertigineux, l’écriture est sombre et poétique, mais aussi fantasmagorique, et on ne peut que chaudement vous le conseiller.
Librairie Gutenberg, France
Riche de ses références, tant aux romans populaires d’aventures et gothiques, qu’au symbolisme, au décadentisme et au romantisme crépusculaire, Ténèbre est un premier roman brillant et résolument postmoderne, porté de bout en bout par une écriture puissante et superbe.
Le blog Les Imposteurs
Dans l’ombre subtile de Joseph Conrad, au cœur de la ténèbre coloniale du Congo de Léopold, un extraordinaire démantèlement amoureux et métaphorique.
Hugues Robert de la Librairie Charybde | Paris
Magnifique, dérangeant, terrassant, addictif.
Jean-Jacques Valès, Librairie Alinéa, Le journal luxembourgeois Tageblatt 
Une jubilation mortifère! | «[...] dans TÉNÈBRE, on sent l’excès des corps et de leurs sensations, qui vibrent au-delà de ce que l’on croit possible. Comme cela peut juter chez Bataille par-delà ce que le corps peut en lui-même contenir. Chez ces deux auteurs, un même élan, semble-t-il, mène l’écriture, depuis le cadre descriptif, familier des scènes, des choses montrées et des êtres en action, vers une sorte de vibrance vitaliste qui irradie tout et conduit vers le sensible et l’éthique.Éthique sans cesse bafouée, ici, on l’aura compris, dans une expérience de colonisation du continent barbare qui insuffle à qui s’y mesure à la sauvagerie humaine la plus crue!
Sylvain Campeau sur le blogue En toutes lettres

(À propos du Prix des lecteurs L'Express / BFMTV] "C’est une grosse chaîne privée. Elle a diffusé une entrevue pendant l’émission du matin, où j’ai parlé des violences policières et tracé un lien avec le déboulonnement des statues, dont celle du roi Léopold II, à laquelle je m’attendais. Le livre est dans l’air du temps, puisqu’il remet en question le passé colonial de la Belgique", mentionne Paul Kawczak.

Daniel Côté, Le Quotidien
«Congo mystique… "Ténèbre" est un roman d'aventure fou, surprenant qui se lit à toute vitesse et qui semble avoir été écrit à une autre époque que la nôtre. Tout est réussi dans ce texte aux accents conradiens : le traitement de la colonisation du Congo, la mise en scène d'un érotisme mystique, l'amour, la mort et l'aventure !Quel plaisir de suivre ce convoi de personnages parfois improbables à travers la jungle impitoyable (mais toujours moins que ceux qui la colonisent) ! Et que dire de cette langue dont on ne pourrait deviner qu'elle est celle d'un primo-romancier tant elle est travaillée, précise, poétique et onirique par moment ! On ressort abasourdi et fasciné de cette lecture, de ces "ténèbres".
Kim, Librairie Ombres Blanches
Quelle est la genèse de TÉNÈBRE, «[...] ce roman foisonnant et magistral, où se développent, dans une nature oppressante, les pires sentiments humains, mais aussi l'amour et la sensualité ?» C'est ce que Marianne Payot a demandé à l'écrivain Paul Kawczak.
Marianne Payot, L'Express
Cet ample roman d'aventure, de désir et de mort qui se déploie le long du fleuve Congo à la fin du XIXe siècle est servi par une langue magnifique.
Léonore, Sonatine Editions
C’est magistral, et je pèse mon mot. D’une noirceur hallucinée, d’une violence et d’une angoisse inouïes, tellement troublantes, mais j’en veux toujours plus, j’en prendrais 1200 pages si j’avais le choix.
Matthieu Dugal, animateur de Moteur de recherche à ICI Radio-Canada Première
C’est un des livres de l’année à mon avis. Un grand roman d’aventures hyper moderne, super bien écrit. Je ne suis pas très “roman d’aventures habituellement”, mais là, j’ai été séduit. C’est un livre qui aborde des sujets difficiles comme l’esclavage, des sujets d’actualité aussi. L’histoire comporte plusieurs couches, c’est très riche. Je l’ai mis entre les mains de bien du monde et ils ont tous été emballés. C’est une lecture de fin de vacances idéale.
Billy Robinson, libraire, La Librairie de Verdun
Livre étonnant qui traite d’esclavage, de folie et de désir.
Stéphane Leclair, animateur et chroniqueur
Dans une écriture magnifique et cruelle, TÉNÈBRE nous convie dans un voyage sulfureux aux frontières poreuses de l'esprit et du sang, de la lumière et de l'obscurité, dont il est impossible de sortir indemne. En plus de l'originalité de son histoire et de l'humanité terrible de ses personnages, le roman se révèle un petit bijou formel. Rien n'est laissé au hasard: chaque événement, chaque sous-intrigue est une pièce venue renforcer l'efficacité du puzzle, un fil d'Ariane supplémentaire nous guidant dans ce labyrinthe dont le centre est Pierre Claes.
Anaïs Paquin, Revue Solaris 2020
On ressort secoué de cette épopée dans la touffeur d'une Afrique sans dieu, lingchifié à notre tour par une plume aussi finement aiguisée, par un tel mélange de barbarie et de beauté, par un roman, qui plus est le premier que commet l'auteur, d'une aussi rare puissance.
David Laporte, Nuit blanche magazine littéraire
Un petit chef-d’œuvre traversé de magie, d’aventures et d’érotisme qui nous tient en haleine du début à la fin.
Le magazine VOL VIP de juin
Certainement l’un des meilleurs livres de ces cinq dernières années!
L’équipe de la Librairie La Virevolte à Lyon
La langue de Paul Kawczak est magnétique, il est impossible de lâcher son roman tant la langue et l’écriture sont fluides et passionnantes. C’est une lecture qui laisse des traces par les images décrites, rien n’est caché, les perversions, les rêves inavoués, tout est donné au lecteur pour que celui-ci se sente complètement immergé dans ces ténèbres. Cette publication de La Peuplade sort indéniablement du lot et elle est à découvrir.
Mes Pages Versicolores 
Paul Kawczak nous propose un texte hybride qui tient du roman historique, de la poésie et du conte. […] Les rêves et la folie se mêlent au récit détaillé d’expédition et nous immergent dans cette jungle sauvage et épaisse. Je ne peux que vous inviter à oser plonger dans ce texte empreint de malédiction, de sang et de beauté. Vous ne regretterez pas ce voyage!
La page qui marque
En lien avec l’actualité, "Ténèbre" de Paul Kawczak est un chef-d’œuvre ! Un "Au cœur des Ténèbres" halluciné et moderne où la noirceur des actes perpétrés fait étrangement écho à notre propre noirceur…
Librairie Filigranes, Belgique
Fascination morbide et érotique, oscillations entre fantasme et réalité, le roman de Paul Kawczak est remarquable, foisonnant, impossible à lâcher: une puissance évocatrice qui vous donnera la fièvre!
Librairie Un Monde à soi - Roanne 
TÉNÈBRE est un roman magistral, étonnant, obsédant, qu’on dévore en se laissant détruire par ce qu’il raconte avec plaisir. A découvrir absolument.
Centre de Lecture publique de Mont-de-l'Enclus
C'est pour l'instant un des meilleurs romans que j'ai lus cette année!
Alexandre Courteau, animateur de Tellement Courteau | ICI Musique
Avec TÉNÈBRE, Kawczak revisite le roman d’aventures, oscillant entre une réalité historique sanglante et un univers empreint de magie.
Rachel Laroche, Spirale - Magazine culturel

Quinze minutes de télé autour du roman TÉNÈBRE de Paul Kawczak à l’émission 300 millions de critiques sur  TV5 Monde, avec Guillaume Durand, Michel Cerutti (RTS), Laura Tenoudji (France Télévisions), Sarah Doraghi, Yves Bigot.

TV5 Monde

TÉNÈBRE nous plonge au cœur du Congo du 19e siècle sur fond de colonialisme et de mutilation où l’érotisme, l’amour et la violence se côtoient dans une histoire qui captive. À visionner, une superbe entrevue vidéo animée réalisée par La Fabrique culturelle, Télé-Québec Saguenay–Lac-Saint-Jean.

Télé-Québec Saguenay–Lac-Saint-Jean
Entrevue avec Paul Kawczak à l'émission Libraire de force, édition du 20/02/2020
Animateur : Maxime Nadeau, Libraire de force CIBL
Ténèbre nous fait voyager au Congo, à la fin du 19e siècle, aux côtés de Pierre Claes, un géomètre belge qui a pour mission de cartographier les terres sauvages au nom des colons, ce qui ne s’avèrera pas une mince tâche. Dans son périple, il croise des êtres et des animaux dangereux et il contracte la malaria, mais sa rencontre la plus marquante sera celle d’un maître tatoueur, qui dessine sur les corps des tracés bien précis… avant de les découper en morceaux. Alors qu’il était venu tracer le destin de l’Afrique, c’est plutôt le sien que Pierre Claes rencontrera. Ce qui lui permettra de s’épanouir sera bien loin de ce qu’il avait envisagé au départ.
Julie Tremblay d'ICI Bas-Saint-Laurent
Ténèbre est un livre total, parfaitement maîtrisé, et dont la plus belle réussite, peut-être, est de nous faire ressentir physiquement les fièvres qu’endurent les personnages. Un livre malade, en somme, et hautement contagieux.
L'ActuaLitté, Grégoire Courtois, Libraire Librairie Obliques (Auxerre)
C'est une grande lecture qui se démarque depuis la rentrée littéraire de cette année. [...] C'est un grand roman d'ici à ne pas manquer!
Billy Robinson, libraire
Un récit de la chair sombre et violent, cauchemardesque et sordide, érotique et hypnotique, qui ne craint pas le réalisme magique. Un tour de force. Publié à La Peuplade.
Marc Cassivi, La Presse
À coups de machette et de bistouri, le premier roman de Paul Kawczak ouvre en grand une page sur l’histoire occultée de la colonisation du Congo à la fin du XIXe siècle à travers l’aventure d’un jeune arpenteur-géomètre belge. Récit de passions mortifères, d’amour sublimé, de catastrophes intimes et collectives, Ténèbre déploie avec force sa magie noire. Un roman sombre à l’écriture impeccable, où l’action et la profondeur, les injustices et les vengeances semblent dosées à la perfection. Du grand art.
Christian Desmeules, Le Devoir
Un vrai roman d’aventures qui est anticolonial, extrêmement bien documenté. Il fait une description de la jungle qui devient une métaphore de la destruction et du désir […] un roman initiatique avec une réflexion d’une traversée mystique sur la recherche de soi.
Karine Rosso, Plus on est de fous, plus on lit, ICI Première
Au cœur de ce premier roman mêlant érotisme, mutilation et réalisme magique : la colonisation. En 1890, un géomètre belge, accompagné de travailleurs bantous et d’un maître tatoueur chinois spécialisé dans l’art de la découpe humaine, se rend en Afrique afin de définir le tracé de la frontière nord du Congo.
Caroline Bertrand, blogue ICI ARTV
Un roman à l’écriture puissante comme le fleuve Congo.
Michel Lachkar, France Télévisions, Franceinfo
Pour le portrait percutant d’une âme mélancolique à la dérive… Pour sa démarche d’écriture extrêmement poussée et engagée, alliant un ton à la fois didactique et poétique… Pour ses personnages en quête de repères et la description de tissus familiaux complexes au sein d’une intrigue savamment ficelée… Pour le jeu de miroirs époustouflant entre un conflit sociopolitique de grande envergure et le déchirement interne du protagoniste… Pour sa représentation crue d’un enjeu à la fois intemporel et profondément d’actualité [...]
Manon Dumais, Le Devoir
L’auteur Paul Kawczak a remporté une nouvelle distinction pour son roman Ténèbre. Il a décroché le Prix littéraire des collégiens 2021
Patricia Rainville, Le Quotidien
Valsant entre romantisme et horreur, Ténèbre incarne toute la violence de la colonisation congolaise et impose une relecture de cette sombre époque.
Simon Chabot, La Presse
Discussion sur le parcours artistique de l'auteur de TÉNÈBRE.
René Homier-Roy, ICI René Homier-Roy , R-C
«Je nourris ma créativité [...], en attendant l’accident, le mauvais rêve, l’erreur qui me fera penser à un rapprochement inédit.»
L'Actualité
Paul Kawczak s'est entretenu avec Mathieu Belhumeur, collaborateur à L'heure du monde sur ICI Première, afin de parler de TÉNÈBRE et du Prix des libraires du Québec.
Mathieu Belhumeur, L'heure du monde, ICI Première
À l'émission Place publique sur ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean, la pertinente Catherine Doucet s'entretient avec Paul Kawczak.
Catherine Doucet, Place publique, ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean
Un roman d’une qualité singulière qui se déroule au 19e siècle dans une Afrique mutilée par le colonialisme.
Jonathan Charette, libraire chez Renaud-Bray (Montréal)
Le patriarcat exacerbé du XXe siècle, on ne s'en est pas débarrassé pour autant.
Nicolas Gary, Actualitté
Tous les mots semblent galvaudés pour décrire un tel chef d’œuvre. Une langue chatoyante, inventive et belle pour raconter ce Pierre Claes, en manque d'amour, qui se confronte à une Afrique meurtrie.
Librairie est à Le Divan, France
Ténèbre est un roman exceptionnel, de ceux dont la sombre aura envoûte le lecteur et le précipite dans un ailleurs délétère et fascinant.
Aires Libres

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