Toutes les histoires humaines sont tissées avec les mêmes fils: des rêves, des cauchemars, des espoirs, des déceptions, des souvenirs, des blessures.
Entrevue avec Marie-Louise Arsenault à Plus on est de fous, plus on lit, R-C
L’entrevue
J’ai adoré la simplicité avec laquelle ce recueil se lit.
Valérie Ouellet, Page par Page
La critique
Mustapha Fahmi devient rapidement contagieux et me voilà prêt à le suivre dans tous les labyrinthes de Shakespeare et des penseurs qui nous effarouchent toujours un peu. Un essai qui fait du bien, respire large et nous pousse tout doucement vers le bonheur.
Chroniques d'Yvon Paré
La critique
Un livre pour aider les gens à vivre mieux.
Daniel Côté, Le Quotidien
L’entrevue
Incontournable ! Un regard sur l’amour, le bonheur, la liberté… à travers la littérature et la philosophie. De riches et profondes réflexions. L’écrivain et professeur Mustapha Fahmi est un précieux guide pour nous aider à mieux comprendre le monde.
Julie Larouche, journaliste à Radio-Canada, Saguenay
La littérature nous permet de multiplier nos perspectives. Multiplier ses perspectives, c’est multiplier ses vérités. Je me tourne vers la littérature comme guide, parce qu’elle me donne accès à ces vérités.
Entrevue (6 octobre) avec Marie-Louise Arsenault à Plus on est de fous, plus on lit, R-C
L’entrevue
Catherine Doucet reçoit Mustapha Fahmi à l'émission Place publique/ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean
Place publique/ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean
L’entrevue
De la vérité à l’identité, l’on traverse des humeurs avant d’apprivoiser quelques libertés, un sentier balisé par bien des personnages aux errances existentielles fortes. L’auteur convoque en effet une assemblée baroque - le roi Lear, Elizabeth Bennet, Heidegger, Kierkegaard ou encore Kant - avec pour effet, peut-être, d’adouber cet «espace moral» que sa promesse entretient en partage... Un petit ouvrage en forme de notes pour mieux appréhender nos temps qui courent!
Typhaine Lockhart
Il écrit divinement bien! [...] J'ai trouvé ça brillant. C'est une belle, belle découverte!
Simon Boulerice à l'émission On va se le dire, la quotidienne de Sébastien Diaz sur ICI TÉLÉ
La critique
Un essai à lire et à relire, sans modération. Note: 20/20
Geneviève Gauthier, du blog Espace littéraire
Ce que défend Fahmi, au fond, c’est ce vieil idéal de sagesse, cette idée du sage-guide dont j’essaie de me défaire parce qu’elle est trop facile à déconstruire, parce que ce rôle est toujours trop feint par quelque côté. Mais c’est une idée qui colle à la peau de tout essayiste, quoi qu’il ou elle fasse. C’est tout un nœud, puisque même quand on critique l’idéal de sagesse, on fait comme s’il était plus sage de tourner le dos à cet idéal : c’est tout le paradoxe, un paradoxe beau, nietzschéen, noble et nécessaire à penser.
La revue Les libraires: Jérémie McEwen dans l’univers de Mustapha Fahmi
L’entrevue
Un livre de philosophie tout à fait accessible qui aide à éclairer avec bienveillance les bons et mauvais aspects de la vie quotidienne : identité, fragilité, dignité, égalité, liberté. L’auteur affirme que la paix et la gratitude sont des baumes à appliquer à notre époque.
Mario Cloutier, La Presse+
Les réflexions qui jalonnent cet essai sont faites d’aphorismes d’une grande justesse et de chapitres succinctement développés… Mustapha Fahmi convoque pour cela de grandes œuvres de la littérature en utilisant ses protagonistes pour illustrer ses propos sur des thèmes comme l’amour, le cynisme, le travail, l’autre, la liberté ou l’identité. Si la brièveté et la concision peuvent parfois laisser un petit goût de frustration, l’on peut concevoir ces pages comme le point de départ d’une conversation avec soi, le tremplin d’un raisonnement à mener, la petite graine semée vers un travail plus intime et introspectif.
Moka, Au milieu des livres
La critique
La littérature n’est pas qu’un moyen d’éducation, de moralisation ou de propagande. Elle peut aussi être une source de réflexion candide sur soi, sur le monde, sur la condition humaine. C’est ce que nous rappelle avec bonheur Mustapha Fahmi. Ce professeur de littérature anglaise à l’Université du Québec à Chicoutimi nous livre en effet dans ces pages des méditations toutes simples qu’il tire de diverses œuvres – notamment de Shakespeare –, œuvres qu’il a manifestement étudiées avec amour durant de nombreuses années
François Lavallée, Nuit blanche magazine littéraire
La critique
Je n’ai rien lu de tel, et cette lecture m’habitera longtemps. Jamais je n’aurais cru la philosophie aussi accessible et nourricière.
Julien Renaud, Espace littéraire