Larry Tremblay, l’un des auteurs les plus importants de la littérature québécoise contemporaine, est de retour, cette fois avec un recueil de nouvelles présentant cinq tableaux de l’âme humaine, chacun plongeant dans les dédales de la détresse et du tourment sans porter de jugement sur les effarantes réalités dévoilées. [...] Sous la plume acérée de Larry Tremblay, l’enfer et l’enfance s’enroulent l’un autour de l’autre jusqu’à ne former qu’un seul et même parcours redoutable.
Bible urbaine
La critique
Les cinq histoires de ce recueil de nouvelles plongent dans les dédales de la détresse et du tourment, révélant au passage d’abrasives réalités, là où l’enfance et l’enfer semblent se lier inextricablement. Sous la plume acérée de Larry Tremblay, grandir n’est pas un jeu d’enfant, mais une épreuve redoutable.
Philippe Fortin, Revue Les Libraires
La critique
Cinq histoires saisissantes nous plongeant dans les méandres de l'âme humaine. Cinq histoires qui interrogent les mots de la violence, de la détresse, et de la mémoire. Cinq histoires ciselées, magnifiques, au bord de l'abîme. Des histoires justes, à l'os, bouleversantes!
Valérie Schopp
Il va de soi que les enfants devraient pouvoir grandir à l’abri de toute violence, mais le monde étant ce qu’il est, des gamins sont chaque jour arrachés au duvet de leur innocence par la tragédie, la guerre et l’injustice. C’est en partie autour de cette idée que Larry Tremblay construisait en 2016 son inoubliable roman L’orangeraie. Un terreau dans lequel il puise à nouveau entre les pages de ce recueil de cinq nouvelles (ou pour reprendre le chic terme qu’emploie sa maison d’édition, cinq « tableaux »), guidé par une vertigineuse question : "Pourquoi arrive-t-il qu’enfance et enfer se partagent la même saison ?
Dominic Tardif, La Presse
La critique
Bordel. Je sais pas si c’est maladroit ou pas de dire un truc pareil mais au cas où on pourrait en douter, je crois que Larry Tremblay c’est l’équivalent de Wajdi Mouawad, mais à la Peuplade. Il faut avoir la sensibilité de la mise en scène - propre à celle du théâtre, pour écrire des phrases pareilles ; des phrases qui vous ballotent dans tous les sens, d’une beauté froide, capable de vous faire ressentir tout et son contraire à la fois. Larry Tremblay arrive lui aussi à rendre le sordide, le point de rupture, la limite qui déborde. À rendre le tout, magnifique. 5 nouvelles ayant pour thème la paranoïa, l’imposition du genre chez l’enfant, la violence, la négligence parentale… Le tout auréolé des vers de Rimbaud et un rapprochement inéluctable entre l’Enfer et l’Enfance. J’étais pas prêt et pourtant je l’étais ; l’annonce d’un livre d’un auteur que j’affectionne beaucoup est toujours très attendue. Par contre être capable de se renouveler dans l’ébranlement… Putain. Et lisez Le tableau final de l’amour. Et lisez L’Orangeraie. Ça va vous flinguer pour sûr, mais vous flinguer comme jamais on vous aura mis au sol par la force de l’écriture.
Lou Knox
Les écrits du prolifique Larry Tremblay ont cette grande qualité de me troubler profondément. Son simple nom sur une couverture est la promesse que je serai secouée, car la question du mal traverse son œuvre, et finit par nous traverser, du Christ obèse au célèbre L’orangeraie en passant par Tableau final de l’amour l’an dernier. Déjà, ce nouveau titre, D’enfers et d’enfants, semble coller à l’actualité, et j’en suis presque jalouse. Toutes ces manifestations que nous voyons depuis quelque temps, contre les drags, les trans ou les toilettes mixtes, se font toujours pour soi-disant protéger les enfants, qui servent plus souvent à ouvrir la voie vers quelques enfers dont on pensait être sortis. “Pourquoi arrive-t-il qu’enfance et enfer se partagent la même saison ? ”, peut-on lire en quatrième de couverture...
Chantal Guy, La Presse
L’entrevue
«Les œuvres ont une espèce d'autonomie, elles s'imposent, on est pris avec.» Larry Tremblay publie D'enfers et d'enfants, un recueil de nouvelles à saveur rimbaldienne qui s'est imposé à lui. Intrigué par la littérature jeunesse, l'auteur et dramaturge aborde l'univers candide de l'enfance, mais se permet de glisser dans son versant plus sombre, «lorsqu'elle est ravagée, frustrée, brisée, annulée, vexée», ajoute-t-il.
Il restera toujours la culture, ICI Première
L’entrevue
Larry Tremblay publie un recueil de nouvelles qui chavire le cœur [...]. Il secoue beaucoup, ce dernier Larry Tremblay. En tout, cinq nouvelles qui parlent de l’enfance, dans ce qu’elle a de cruel, de défendu, de laid, même. [...] Une lecture saisissante d’un auteur phare d’ici.
Julie Roy, L'actualité
La critique
Le talent de Larry Tremblay de mélanger la poésie des mots aux recoins les plus sombres de l’esprit est mis de l’avant dans ce livre qui deviendra un incontournable en librairie.
Chloé Larouche (Librairie Harvey, Alma)
La critique
Ce recueil de nouvelles d’un auteur maintes fois primé remue. Beaucoup. Au menu: cinq textes ayant pour thème central l’enfance, dans ce qu’elle a de cruel, de défendu, de laid même. Les histoires sont bouleversantes et donnent à réfléchir, mais deux nouvelles se démarquent particulièrement: celle où une victime écrit à son agresseur, abordant sans détour la fabrication d’un désir interdit; et celle qui décrit une situation d’aliénation mentale où le genre de l’enfant devient une arme destructrice. Une lecture saisissante qui écorche!
Julie Roy, L'Actualité
La critique
On retrouve la plume raffinée de Larry Tremblay qui réussit à nous arracher des émotions profondes.
Valérie Ouellet, Page par page
La critique
