Pour son troisième roman, HOTLINE, l’auteur libanais Dimitri Nasrallah a pu compter sur l’écrivain Daniel Grenier pour la traduction efficace de l’histoire d’une mère qui quitte Beyrouth avec son fils unique pour se déposer à Montréal. Le roman en version originale est déjà sur la liste préliminaire du prix Giller.
Julie Roy, L'Actualité
La critique
À l’émission Salut Bonjour, Chrystine Brouillet salue l’intelligence, la subtilité et la finesse du roman HOTLINE de Dimitri Nasrallah, qu’elle n’hésite pas à qualifier de bouleversant, d’intelligent, d’exceptionnel…
Chrystine Brouillette, Salut Bonjour, TVA
La critique
[...] hommage émouvant à la persévérance des mères immigrantes qui en bavent plus souvent qu’à leur tour aux intersections. La seule langue que l’on parle dans cette œuvre est celle du COEUR
Rima Elkouri, La Presse
La critique
HOTLINE EST UN ROMAN INCROYABLE [...] Un récit qui fait réfléchir, qui fait sourire, qui nous ouvre les yeux aussi à une autre réalité bien présente autour de nous.
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La critique
Magnifique roman de Dimitri Nasrallah aux éditions de La Peuplade ! Une jeune femme libanaise émigre à Montréal avec son jeune fils pour fuir la guerre. Cette femme nous raconte ses angoisses, ses rencontres, ses combats pour trouver sa place. Une écriture proche de l’oralité sur la condition des femmes !
Coup de cœur d’Ariane, Tulitu
Déracinée de sa terre natale, Muna lutte au quotidien pour s’intégrer et élever son enfant, seule face à l’adversité, aux préjugés raciaux, il lui faudra une bonne dose de courage et de persévérance pour réussir dans ce pays qui n’est pas le sien. Un formidable portrait de femme, d’une immigrée, d’une mère courageuse.
Christelle Salvan, Blog Ma dose d'encre
La critique
Par le biais d’HOTLINE, on pénètre dans la tête de Mouna. On prend la mesure de ses doutes vis-à-vis d’elle-même, de sa crainte de ne pas offrir à son fils l’attention dont il a besoin, de ses appréhensions face aux attentes de sa patronne et de sa frustration nourrie par l’attitude de ses nouveaux concitoyens. Eux qui suivent fidèlement ses conseils donnés au téléphone, qui lui confient de grands pans de leur intimité, seraient les premiers à l’éviter s’ils la croisaient dans la rue, en raison de ses traits différents.
Daniel Côté, Le Quotidien/Le Soleil
L’entrevue
Hotline dans une contemporanéité criante, juste et implacable, une jeune femme, Muna, symbole des migrations, mère et veuve, sur le seuil, un pas, puis un autre, et tout changera peut-être. […] « Hotline » est un livre-monde, humble et patient, inouïe. Ce livre universel est une ode à la femme immigrée. Le pouvoir d’une ligne cosmopolite.
Blog lecteurs.com
La critique
Hotline est une histoire de résilience épargnée par les clichés, Dimitri Nasrallah ayant l’intelligence de transformer les recettes toutes faites en pièges à préjugés. L’auteur aborde, à travers une judicieuse collision avec le genre du self-help, les immenses sacrifices qu’impose l’enracinement, celui que plusieurs jugeraient parfait. L’histoire de Muna se termine bien, certes, mais cette fin heureuse n’advient pas sans la transformation de quelques rêves en illusions, et une reconstruction identitaire douloureuse. Dimitri Nasrallah n’est toutefois pas cynique, et ne laisse jamais son point de vue critique sur les inégalités systémiques oblitérer la part d’humanité et de bonté, les mains tendues de part et d’autre, qui permettent à une jeune femme de trouver sa place, sa voix, sa paix intérieure. Un récit qui rappelle que l’espoir prend racine dans les petites choses.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
La critique
Magnifique récit que HOTLINE qui nous sensibilise au plus terrible des combats, soit celui de s’installer dans une ville étrangère. Surtout, Dimitri Nasrallah ne s’apitoie jamais et j’ai suivi son héroïne et souhaité de toutes mes forces qu’elle s’en sorte. Un beau moment de lecture et une fenêtre qui s’ouvre sur l’autre pour mieux comprendre une réalité contemporaine qui reste encore bien mal connue bien que cette question revienne régulièrement dans nos médias. Le fameux chemin Roxham nous le rappelle presque chaque jour.
Chroniques d'Yvon Paré
La critique
Le roman HOTLINE est "la découverte de l'année" selon Rima Elkouri et Chrystine Brouillet, qui en parlent à l'émission d'Émilie Perreault Il restera toujours la culture sur Radio-Canada!
Émilie Perreault, Il restera toujours la culture, ICI Première
La critique
Dans ce quatrième roman, l’auteur libano-canadien livre – toujours avec des accents empreints de vécu – une perspective nouvelle sur l’émigration libanaise au Canada, à travers cette émouvante histoire de lutte, de persévérance et d’adaptation racontée sous l’angle de la monoparentalité féminine.
Zéna ZalZal, L'Orient-Le jour
La critique
L’auteur libano-canadien Dimitri Nasrallah évoque avec « L’Orient-Le Jour » les liens qui le rattachent encore et toujours au pays du Cèdre.
Zéna ZalZal, L'Orient-Le jour
L’entrevue
HOTLINE est un magnifique roman sur l'immigration, la résilience, le deuil mais aussi la solidarité et l'amour. Un subtil portrait de femme et de mère, émouvant et souvent drôle. Dimitri Nasrallah signe ici un livre universel...comme il y en a peu.
Librairie Bertrand, Montréal, QC
HOTLINE est un roman plein d’espoir qui honore le parcours des mères migrantes en présentant une protagoniste ambitieuse, sensible et attachante.
Librairie Carcajou, Laval, QC
Un vibrant hommage à toutes les mères migrantes qui, malgré les multiples deuils de la vie passée, tentent de tracer la voie à leurs enfants.
Mélanie, Librairie Liber, New Richmond, QC
Touchant et rempli d’humanité, on a affaire à un roman d’exception sur l’immigration. Une lecture fluide, accrocheuse dès le début. J’ai adoré!
Ariane, Librairie Côte-Nord
Roman sur l'adaptation, sur l'acceptance et sur la persévérance. Une très belle écriture, poétique et puissante dans les propos. J'ai adoré ma lecture, une belle traduction!
Antoine, Librairie Raffin, Montréal, QC
La critique
Un roman émouvant sur la résilience, qui montre qu’on peut parfois trouver du réconfort là où on s’y attend le moins.
Julie Roy, L'Actualité
La critique