★★★★ Numérologue boréal, bibliophile, chasseur-cueilleur, semeur à tous vents et adepte de la décantation lente, Charles Sagalane nous offre un livre généreux et bigarré, nourri par le souffle des saisons et par "la voie de l’épure japonaise". Un journal aux phrases polies et souvent pleines de sens, farouchement fidèle à l’esprit du projet.
Christian Desmeules, Le Devoir
La critique
La NASA a envoyé une chanson de Chuck Berry dans l’espace et, à sa manière, Charles Sagalane fait la même chose avec des livres. Il ne sait pas qui va les ouvrir, ni dans quel état ils se retrouveront après un rude hiver en terre boréale, mais l’écrivain poursuit cette expérience depuis huit ans. Au début, il se contentait de déposer un ouvrage sur une île voisine de sa résidence de Saint-Gédéon. Constatant qu’un sac de plastique ne suffisait pas pour le protéger des intempéries, l’idée lui est venue de construire un petit abri en bois. La première bibliothèque de survie.
Daniel Côté, Le Quotidien
L’entrevue
Grâce à ses bibliothèques semées en pleine nature et à son enthousiasme contagieux, l'auteur nous emporte dans une véritable aventure littéraire qui parcourt le territoire boréal d'une façon inédite. Une lecture inspirante!
Libraire Marie-Laura, Jonquière
C'est né d'une idée folle, celle de placer un livre dans un sac Ziploc sur une île près de chez moi pour voir ce qui allait se passer. J'ai confectionné des petites bibliothèques, j'ai établi tout un réseau de bibliothèques. Ici, il y a dix-sept îles qui sont occupées. Au Canada, une dizaine de lieux ont été visités, mentionne Charles Sagalane.
Julie Larouche, Téléjournal ICI Saguenay-Lac-Saint-Jean
L’entrevue
«Au début, j’ai écrit sans savoir qu’il y aurait un livre, le Livre. Sans me douter que l’aventure changerait ma façon d’écrire»
Julie Larouche, ICI Saguenay-Lac-Saint-Jean
L’entrevue
J’ai lu Journal d’un bibliothécaire de survie avec grand plaisir, vivant les périples de cet étrange semeur de mots qu’est Charles Sagalane, l’homme qui échappe aux frontières et aux contraintes, s’abandonne à la route, flânant ici et là, écoutant, discutant avant de repartir pour voir l’autre versant de l’horizon, y laisser un recueil de poésie ou un roman pour marquer son passage, faire en sorte que la littérature francophone soit présente partout.
Chronique d'Yvon Paré
La critique
Un récit de voyage unique, c'est ce que propose Charles Sagalane avec son JOURNAL D'UN BIBLIOTHÉCAIRE DE SURVIE, son septième livre à La Peuplade. Depuis huit ans, le poète jeannois parcourt le territoire pour aménager des étagères de bois en guise de bibliothèques de survie en plein cœur de la nature.
Julie Larouche, Téléjournal sur ICI Saguenay–Lac-Saint-Jean et RDI
L’entrevue
[... Journal d'un bibliothécaire de survie nous transporte au travers la nature dans différentes saisons.
Mélissa Ratté, ACCÈS CULTURE, Noustv
L’entrevue
Ce livre dont on est incapable d'arrêter la lecture!
Frédérique Saint-Julien, Cochaux show
La critique
Parsemée d'anecdotes et de portraits d'écrivains, pétillante d'esprit, la prose aiguisée de Sagalane rend hommage à la vitalité des littératures francophones d'Amérique du Nord.
Désautels le dimanche sur ICI Première R-C
L’entrevue
Le livre de Charles Sagalane, personnage à part entière de cette aventure est un bel objet, épais, doté de parole, parsemé de photos, de pages intercalaires feuillues et de messages manuscrits.
Cécile D., Addict-Culture
La critique
Charles Sagalane nous offre ici un journal construit à la japonaise pour parler de son projet de bibliothèques de survie. En effet, l’auteur, avec l’aide inestimable de ses amis et collègues, a décidé de parcourir les îles et certains territoires du Lac St-Jean afin d’y planter des bibliothèques de survie. 17 au total. Un hasard ? Pas du tout, l’auteur qui voue une fascination et un talent pour les haïkus (17 syllabes) se laissera très souvent guidé par ce chiffre.
Valérie Ouellet, Page par Page
La critique
Le Journal d'un bibliothécaire de survie, de Charles Sagalane. Une oeuvre au carrefour de l'humain, du territoire et de la littérature. Un livre qui se déguste à petites bouchées, parfait pour un temps des fêtes encabanné.
Gabriel Marcoux-Chabot
Nul doute, sur la plan de la forme, il s'agit d'une oeuvre originale et remarquable, mais sa plus grande qualité est peut-être de faire en sorte que celle ou celui qui en achève la lecture éprouve la gratifiante sensation d'être devenu une meilleure personne, ce qui n'est pas peu dire. À lire absolument!
Nuit blanche magazine littéraire