L’écrivaine suédoise Tove Jansson — le fertile imaginaire derrière les attachants Moumines — crée des univers près de l’enfance, éminemment oniriques, portes secrètes vers une beauté qui ne se révèle que dans la contemplation et la rêverie. Dans LA FILLE DU SCULPTEUR, elle nous entraîne sur une île féerique où les êtres humains déploient leurs ailes, où des créatures mystérieuses guettent au détour des criques, et où Dieu lui-même jette un regard bienveillant sur les enfants qui jouent dans le jardin. Un immense classique qui possède le rare pouvoir de transporter à l’autre bout du monde, à l’autre bout de soi.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
La critique
★★★★ Une lecture ravissante, inspirante, qui réveille notre cœur d’enfant, parfaite pour oublier ces temps gris que sont les nôtres.
Iris Gagnon-Paradis, La Presse
La critique
LA FILLE DU SCULPTEUR participe ainsi de ces refuges littéraires où l’imaginaire prend le relais de la réalité, quand ce n’est pas cette dernière qui emboîte le pas d’une fantasmagorie.
Typhaine, Librairie Payot
L’art de Tove Jansson est tout entier contenu dans cette tension qu’elle parvient comme peu à rendre palpable entre le pouvoir de l’enfant et le regard de l’adulte.
Emmanuel Requette, Ptyx Librairie, Bruxelles
Immense Tove Jansson ! [...] Bref on ne vous le dira jamais assez :lisez Tove JANSSON, et lisez LA FILLE DU SCULPTEUR!» — Andreas Lemaire, Myriagone, Angers
Juliette, Librairie Montbarbon, Bourg en Bresse
On se laisse porter, au gré du vent, au rythme des vagues, mais surtout par l’écriture onirique et poétique de Tove Jansson. C’est doux et d’une grande beauté.
Manon Rosario, Librairie Coiffard, Nantes
Comme il est doux de retrouver l’écriture chargée de nostalgie enfantine de Tove Jansson. Chaque mot nous dévoile sa tendresse, son cœur.
Luca Ruffini Ronzi, Librairie Multipresse, Spa
Écrivaine, peintre, illustratrice, féministe: Tove Jansson était une femme exceptionnelle et l’univers qu’elle a créé dans ses oeuvres lui ressemble par sa liberté, sa folie, sa poésie, sa magie. On la connaît habituellement pour ses (merveilleux) livres pour enfants «Les Moomins», mais il faut absolument découvrir la beauté de ses romans et textes autobiographiques. LA FILLE DU SCULPTEUR est comme une douce parenthèse dans la grisaille hivernale.
ELLE Belgique
Devenu culte, LE LIVRE D'UN ÉTÉ racontait les relations de Sophie avec sa grand-mère lors de vacances sur une île de la mer Baltique. D’une beauté inégalée, la robinsonade se révélait autant récit d’initiation, ode à la nature qu’hymne à la vie. Celle qui débute et celle qui, paisiblement mais inexorablement, s’achève. LA FILLE DU SCULPTEUR procède du même enchantement. Et, selon l’habitude de l’auteur, la série de courtes historiettes, chacune à valeur de fable peuplée de créatures décalées ou mystérieuses, progresse selon une intensité dramatique qui va crescendo.»
Le Figaro
Ce roman est très impressionniste, comme une série de tableaux […] C’est extrêmement beau, cette conception des paysages grandioses. Elle sculpte avec les mots.
Émilie Dubreuil, Plus on est de fous plus on lit sur R-C
La critique
L'autrice finlandaise Tove Jansson, créatrice des Moumines, conte une jeunesse jamais mièvre où l'aventure quotidienne a tout à voir avec la poésie.
Anne-Lise Remacle, Focus Vif, Belgique
La critique
Portrait de Tove Jansson en autrice punk, "sans complexes, hors des sentiers battus" .
Christilla Pellé Douël à l'émission Grand bien vous fasse sur France Inter
La critique
Un livre inspirant et réjouissant, qui arrache et déplace, qui fait l’éloge de l’imaginaire et d’une existence vouée à la création et à la joie, qui enchante tout en invitant à ré-enchanter notre vie.
Delphine Crahay, La cause littéraire
La critique
Une enfance entre rêverie et nature.
Addict-Culture
La critique
La fille du sculpteur raconte une enfance vécue comme un rêve, inspirée de celle de Tove Jansson, au début du xxe siècle, entre Helsinki et la maison familiale sur une île de l’archipel de Porvoo, où ses parents artistes se retiraient pour l’été. La Peuplade
lalibrairie.com
À hauteur des yeux de la fillette, une vision du monde poétique et (faussement) naïve déroule son diaporama en couleurs franches. Vie de famille, comportements des adultes, jeux ou phénomènes naturels – la neige, l’obscurité, la marée haute... –, prennent des allures loufoques, foutraques ou magiques, voire tout à la fois, et c’est l’imaginaire débridé de la gamine qui s’envole et nous emporte.
Véronique Laurent, Axelle magazine, septembre No 241