Dans un roman subtil, l’écrivain féroïen tresse le destin après-guerre d’un pays aux confins septentrionaux de l’Europe [...] A travers les destins de gamins, devenus des adolescents, puis des hommes adultes, l’auteur brosse le tableau tout en finesse d’un monde à la fois hautement original – à cause de la taille et de la position aux confins de l’Europe des îles Féroé – et partie prenante à part entière de cette Europe comme de son histoire. On y va à l’école Saint-François, gérée par les sœurs franciscaines, pour se faire embaucher ensuite sur un chalutier de pêche – à moins de finir SDF à Copenhague, lieu de toutes les ambitions et de toutes les perditions [...] Intime et épique, exotique et universel
Elena Balzamo, Le Monde des livres
La critique
D'abord célèbre comme poète, le coeur bien à gauche, écrivant en féroïen, il est devenu une importante figure de la culture nordique.
Pascal Corazza, Le Monde
Les collectionneurs d’images de Jóanes Nielsen nous donne à voir sans fard les îles Féroé de la seconde moitié du XXe siècle. La rudesse de la vie sur les îles, la masculinité «toxique» et l’homophobie, l’éternelle domination danoise et les lois de l’exil obligé. La manière dont l’archipel, comme l’ogre des contes, dévore parfois ses propres enfants.
Christian Desmeules, Le Devoir
La critique
Cette fresque allie magnifiquement les détails historiques et le quotidien de cinq garçons qui deviennent des hommes.
Julie Roy, L’actualité
Avec une telle saga – foisonnante, ambitieuse, passionnante –, les rebondissements sont si nombreux qu'il serait illusoire d'en résumer l'intrigue. Alors si vous soirées sont longues et vos envies d'évasion impérieuses, n'hésitez pas !
La Géosphère
Roman insulaire sur l’identité féroïenne. Sous forme de nécrologie d’une génération, celle née en 1952, celle qui connaîtra la modernité et la reconnaissance des Îles Féroé et de leur langue, Jóanes Nielsen dresse un portrait d’un archipel, des identités plurielles – entre exil et retour – de ses îles perdues au cœur de l’Atlantique-Nord. Quasi roman documentaire, roman tantôt du sentiment mystique tantôt de la découverte de la sexualité, de la politique, Les collectionneurs d’images est avant tout un grand roman.
La Viduité
La critique
Grandiose et touchant!
Librairie Obliques
Un très beau livre autour d’une ville, de personnages attachants, de vies fragiles, et sur la fin d'une époque.
Librairie le bonheur à Montrouge
Cette fresque sociale nous entraîne dans le froid, au cœur de la capitale, mais aussi au Danemark où beaucoup de natifs des îles émigrent ou échouent. Âpre parfois, touchant, c'est une belle découverte.
Librairie La Nuit des temps
Jóanes Nielsen nous plonge dans une fresque sociale qui ne vous laissera pas indemne. En fermant la dernière page, les vies, les espoirs, les désillusions de nos ses six personnages restent imprégnés en nous. C'est doux et puissant à la fois.
L'Ombre du Vent - Librairie-Café
Lire Les Collectionneurs d’images c’est vivre pendant 440 pages sur cette île lointaine et découvrir un pan historique de cet archipel indépendant, grâce aux mots de Joanes Nielsen.
Mes Pages Versicolores – Blog littéraire
La critique
Il est difficile de résumer en quelques lignes la richesse de cette saga féroïenne, véritable peinture sociale d'un monde insulaire peu connu, où sont abordées les mille et une questions de l'existence et de l'identité. Un monument de littérature nordique à découvrir absolument!
Alexis, Librairie Henri IV, Paris, France
Qu'est-ce qui en fait un classique ? Le fait qu'on achève cette fresque avec le sentiment qu'on y a tout trouvé, que ce roman contient la vie, la mort, l'amour, l'amitié, la religion, la terre, la mer, la politique, la philosophie, l'Histoire. Et ce sans effet catalogue, sans fioriture, dans une écriture limpide, sans pathos, toujours juste.
Kim, Librairie Ombres Blanches, France
La critique
sur une période de 40 ans, les destins tragiques de six garçons qui se sont rencontrés à l’école, dans une forme qui rappelle la notice nécrologique, mais aussi la fresque sociale, tissant du même coup, à travers différents instantanés de ces existences, un portrait de la vie souvent rude dans ces petites îles coupées du monde, et de leur entrée dans la modernité.
Iris Gagnon-Paradis, La Presse
La critique
Particularités de la vie sur des îles, homophobie, préjugés, violence, masculinité toxique et oppressions linguistiques : rien n’échappe à la plume réaliste de Nielsen, qui nous offre ici un roman marquant.
Page par Page
La critique
"Je pense que, pour beaucoup de personnes devenant écrivains, le déclencheur est un chagrin d’amour, ce qui a été mon cas vers 17 ans. Après avoir écrit des poèmes, dont 11 recueils sont publiés à ce jour, je suis passé à un autre genre." "Je n’aime pas le suspense, je préfère que le lecteur se concentre sur les émotions."
Médiathèque de Vire Normandie à l’occasion du Festival normand des Boréales
L’entrevue
Une fresque amicale et sociale entre rires, pleurs et embrassades...
Librairie Calligrammes à La Rochelle
Jóanes Nielsen nous livre une fresque d'une beauté éclatante, traversant la jeunesse, les rites de passage à l'âge d'homme, l'amitié qui se dit et les amours qui se taisent, les rires, les larmes, les multiples masculinités, et la violence crue de cette "maladie honteuse" des années 90... Déclaration d'amour à ce lieu reculé du monde, ce grand livre est autant une saga qu'une invitation au voyage.
Librairie de l'Angle Rouge
La critique
À écouter: le podcast La Voix des Danois, autour du roman LES COLLECTIONNEURS D’IMAGES de Jóanes Nielsen. La Voix des Danois est une série de podcasts sur la littérature danoise et féroïenne qui fait découvrir un ouvrage qui vient d’être traduit et publié en France. La série est présentée par Catherine Poher en partenariat avec le Festival Les Boréales.
La Voix des Danois, Catherine Poher | Festival Les Boréales
La critique