La Peuplade

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Les falaises

Virginie DeChamplain

Roman

V. vient d’apprendre que l’on a retrouvé le corps sans vie de sa mère, rejeté par le Saint-Laurent sur une plage de la Gaspésie, l’équivalent « du bout du monde ». Elle regagne là-bas, brusquement, sa maison natale, et se confectionne une « île » au milieu du salon venteux, lieu désigné pour découvrir et mieux effacer – ou la ramener – l’histoire des femmes de sa lignée à travers les journaux manuscrits de sa grand-mère. V. se voit prise dans sa lecture, incapable de s’en détacher. Sa seule échappatoire réside derrière le comptoir d’un bar au village, dans une chevelure rousse aérienne, et s’appelle Chloé.

 

Les Falaises fait le récit d’un chaos à dompter, d’un grand voyage onirique, historique et féminin, qui de la Gaspésie à l’Islande réunit ces survivantes de mère en fille qui admettent difficilement être de quelque part, préférant se savoir ailleurs et se déraciner à volonté.

 

LAURÉATE, Prix Jovette-Bernier 2020

FINALISTE, Prix des Rendez-vous du premier roman 2020

Parution: 27 février 2020
224 pages, 978-2-924898-51-2, 21,95$ | 18,00 €,
Droits vendus : Espagne (EL BAILE DEL SOL)

Échos de la presse Les falaises

Avec cette langue du Québec qui déménage, DeChamplain raconte trois générations de femmes qui ont échoué à se comprendre. Un roman fulgurant et très doux.
ELLE France, Émilie Berto, Librairie Pantagruel - Marseille 7e
On entre dans Les falaises comme la protagoniste entre, lentement, en elle-même, porté par le souffle et la souffrance muette d’une femme qui apprendra à jeter un regard neuf sur les choses et la vie. Au fil de chapitres assez courts, entrecoupés d’apartés poétiques, l’autrice nous amène avec elle dans ce voyage intérieur. Beau.
Iris Gagnon-Paradis, La Presse
Relations mère-fille complexes, protagonistes à la croisée des chemins, écriture imagée au souffle poétique… Les falaises et Menthol, premiers romans respectifs de Virginie DeChamplain et de Jennifer Bélanger, ont beaucoup en commun. Leurs autrices aussi.
Marie-Lise Rousseau, Journal Métro
Quelle puissance se dégage du roman Les Falaises! Comme si les rudes paysages où se campe le récit, d’abord la Gaspésie puis l’Islande, avaient trouvé écho dans l’écriture.
Josée Boileau, Journal de Montréal
De la Gaspésie à l'Islande, la narratrice de Virginie DeChamplain remonte l’histoire des femmes de sa famille. Un roman porté par une remarquable énergie. C’est une émotion brute qui enfle de page en page.
Sylvie Tanette, Les Inrockuptibles
V., la narratrice des Falaises, le premier roman tempétueux de la Québécoise Virginie DeChamplain, raconte une quête intérieure rageuse, sur les traces de femmes en fuite. Des criques de la Gaspésie aux plages de sable noir d'Islande, d'une maison natale à l'embouchure du Saint-Laurent au foyer d'un couple de bergers isolés sur une lande, de bout du monde en bout du monde, de falaises en falaises, c'est une longue histoire de rendez-vous manqués, de départs nécessaires et de retours trop longtemps différés. De désir vital de fuguer, de goût pour la sauvagerie radicale, hérités de mère en fille puis en petite-fille. De lieux originaires que l'on fuit mais où l'on finit par revenir pour se retrouver [...] Traversé aussi par les présences fortes de la sœur (Ana la cadette), de la tante (Marie, le soutien) et de l'amante (Chloé et "ses cheveux comme un automne qui brûle", qui tient le bar du village), ce roman embrasse les tourments de ces héroïnes valeureuses et "détraquées", ivres d'horizons ouverts et portées par les vents. Comme elles, la langue de Virginie DeChamplain est habitée d'un grand souffle.
Véronique Rossignol, Livres Hebdo | France
Roman tempête, roman colère, Les falaises est porté par les échos de femmes en fuite ; la fuite courageuse de celles qui tournent le dos à leur destin, qui refusent les corsets qui emprisonnent leurs rêves, dont les tourments ne peuvent être qu’apaisés par les horizons lointains, le souffle marin du vent et le vertige des falaises. La plume de Virginie DeChamplain, d’une poésie farouche et sensuelle, sublime l’humanité montagneuse de ces héroïnes assoiffées. Ode à la mémoire et à la filiation, le récit tisse avec finesse une toile temporelle complexe et conjugue la force et la résilience du territoire à celles du coeur des femmes. Une voix à surveiller.
Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
Un premier roman truffé de vitamines du bonheur.
Le Matricule des Anges, France
Ce livre-là est formidable, très touchant aussi. Un premier roman déjà très mature avec une voix bien affirmée.
Claudia Larochelle, Le Téléjournal 18 h
On se laisse facilement porter par une histoire universelle qui ravive un territoire oublié, celui de pierre et celui de l’intime, de la famille et de ce qu’il faut pour vivre. Un début romanesque tout en fraîcheur pour les éditions de La Peuplade.
Victor Bégin, Les Méconnus
J'ai été happée par son phrasé à la fois cru et poétique, son atmosphère maritime, sa sensualité éperdue. [...] "Les falaises" est un roman qui mêle le féminin aux territoires nus, qui conjugue souvenirs individuels avec mémoire familiale, et mêle sa langue à celle de la résilience. C'est une odyssée intime et bouleversante entre sœurs, filles, femmes, amantes.[...] DeChamplain te creuse des pistes, abolit les genres, te parle de deuil et de désir, t'emmène dans un voyage qui te prend au cœur et aux tripes, pour ne plus te lâcher jusqu'à la dernière page, au sein de sa "galaxie de femmes".
Fanny Nowak, Librairie Le Grenier
C'est un roman de femmes qui s'échappent et qui se manquent. Des rives du Saint-Laurent aux plages noires d'Islande, ce sont des mots qui volent et qui nous prennent au creux du ventre. Un merveilleux chamboulement.
Anne Baudinet, Librairie L'Oiseau lire, Visé
Personnellement, j'en ressors toute légère et comme marquée d'une solennité forte. Les mots de Virginie DeChamplain s'enroulent autour de nous, s'insinuent dans chaque pore et nous transforment grâce à ce petit truc en plus que possèdent les écrivains québécois : une liberté de style et de construction qui sublime le message qu'ils transmettent dans leurs pages.
Aurélie Barlet – Librairie La Pléiade, Cagnes-sur-mer
Un roman entre Montréal et la Gaspésie avec le St-Laurent toujours là. L'Islande pas très loin. Un roman qu'on a envie de lire lentement pour ne pas quitter ces mots trop vite. Un livre à relire. Un roman qui laisse une petite boule dans la gorge autant qu'il réchauffe. Un roman que tu as envie de faire lire autour de toi.
Hélène Deschères – Librairie Récréalivres, Le Mans
Dans une langue à la fois vive et lyrique, Virginie DeChamplain nous embarque pour un voyage générationnel entre le Québec et l'Islande. Elle nous conte une histoire de mémoire familiale, de femmes, d'amour et de désir. Un livre fort et profondément émouvant. Autre coup de cœur cette rentrée 2020.
Valérie Schopp
Gaspésie/Islande. Trois générations de femmes. Trois femmes peut-être pas si impuissantes que ça. Elles se sont manquées de peu. Elles s'aiment alors à rebours, quand il est trop tard. Partir, toujours partir. Fuir. Fuir une folie qui guette, l'héritage d'une peine ancienne, comme avoir des souvenirs qui ne nous appartiennent pas. Fuir le conformisme, l'étroitesse, les amours déçues, la mort, l'envie de la mort, salvatrice. Avoir une falaise au bord des lèvres. Traverser le chaos. Naître (n’être) dans le creux de ce qui s'éteint, dans les décombres. Mais vivre, se laisser tenter, aimer peut-être. Et puis vivre c'est comme le vélo dit-elle, non ? Somptueux premier roman, avec cette langue si poétique, si concrète aussi : physique et palpable.
David Guerrinha
[...] c’est une œuvre brillante, construite avec deux voire trois niveaux de narration. C’est d’une poésie certaine, c’est l’impression de se retrouver devant une partition musicale composée avec toute l’attention du monde, c’est la tendresse matérialisée, c’est le poids du vide et des non-dits, c’est le devoir d’une mémoire à construire.
Emmy Lapointe, Impact Campus
J’ai beaucoup aimé, c’est un super premier roman. C’est à la fois poétique, franc, cru. C’est émotif, sans être mélodramatique. C’est dur, mais […] lumineux. C’est sensible, mais à vif. On sent les émotions, on le vit. […] Une écriture habile, vivante, qui nous porte à reconnaître un talent indéniable!
Les Herbes folles sur CISM 89,3 FM (émission du 18 février 2020)
Un roman enveloppant, une langue qui m’a pris au cœur et au corps. Une sorte de palpitation, une musique qui vous secoue dans le plus intime et le plus chaud de l’être.
Littérature du Québec, chroniques d'Yvon Paré
Au-delà de la mort et du deuil, il s’agit là d’un récit initiatique et filial que Virginie DeChamplain a voulu farouchement féminin et poétique, du Québec à l’Islande. Les falaises, ce sont les récifs du fleuve, les collines étrangères, l’épaule nue d’une femme, tous ces endroits vertigineux où il nous faut, sans réelle emprise, tenir en équilibre.
Virginie St-Pierre, Librairie La Liberté
Aussi froid et radical que dense et déroutant, LES EMPLOYÉS invite le lecteur à une balade intergalactique d’une originalité renversante et bien souvent hermétique. Olga Ravn trouve pourtant dans cette épopée spatiale le chaînon manquant entre Solaris et 2001 où l’art sert à définir l’homme et non l’inverse. Fascinant jusqu’au bout des angles.
Nicolas Winter sur le blog Just a word, France.
Une langue libre qui se réinvente pour mieux dire l'amour et la mort Un texte puissant et marquant qui file sur l'étagère des indispensables.
Cathulu, blog français
Virginie DeChamplain livre un voyage intergénérationnel où les femmes de la famille sont des êtres cabossés, sensibles, fragiles mais forts aussi. Des femmes qui ne cherchent que la fuite alors qu’elles sont terriblement ancrées à leur terre. Des femmes qui sont unies bien au-delà des liens du sang, par une nécessité d’exister ailleurs. [...] Un roman comme un rêve, comme un voyage sur une barque bercée par les courants de la mer(e) ou du Saint-Laurent.
Virginie Vertigo, Les lectures du mouton - blog français
Le corps de sa mère, recraché par le Saint-Laurent, la ramène en Gaspésie dans la maison de son enfance. Elle y découvre l'histoire intime des femmes de sa famille, celle de sa grand-mère, celle de sa mère et puis la sienne. Tout y est : l'émotion, l'énergie, l'espace et les personnages qui transportent, surtout Chloé et "ses cheveux comme un automne qui brûle". Roman foudroyant !
Librairie Lucioles, Vienne, France
Un roman poétique sur le deuil, la reconstruction et le voyage initiatique.
Émilie, Librairie Histoires sans fin, La Roche-Sur-Foron, France
Une plume poétique, tout en douceur, le premier roman de Virginie DeChamplain est un véritable coup de cœur!
Caroline, Coop Rosemont
LES FALAISES, c’est un coup de coeur immense, qui fait pleurer le coeur et vibrer les yeux. [...] LES FALAISES, c’est LE texte de cette année, une poésie immense. Vous ne pouvez décidément pas le manquer.
Librairie en folie
Virginie DeChamplain te creuse des pistes, abolit les genres, te parle de deuil et de désir, t’emmène dans un voyage qui te prend au cœur et aux tripes, pour ne plus te lâcher jusqu’à la dernière page, au sein de sa "galaxie de femmes".
Fanny de So Many Books So Little Time | Used Books / Les libraires masqués du Grenier
De la maison familiale aux pistes lunaires de l’Islande, Virginie DeChamplain traduit un voyage aux confins d’un ailleurs qui se cherche ici-bas, à travers un phrasé brut et poétique, mu par une oralité franche et sensible. Sa verve emprunte l’indépendance de ton propre aux lettres québécoises, et transforme une errance nombriliste en une odyssée plurielle, historique et géographique. Le roman se révèle ainsi quête onirique, récit d’initiation, élégie pour deuil enfui. Et "trouver la falaise" revient soudain à apprivoiser ce vertige intime au bout duquel il nous faut certainement se hisser, au risque de chuter, ou de parvenir à l’équilibre. Les Falaises prend soin de ses fantômes comme de ses pulsions de vie indomptées, et La Peuplade offre, une fois de plus, une voix singulière, celle de Virginie DeChamplain, aux espaces littéraires francophones.
Typhaine Lockhart, Addict-Culture
Illuminée de passages épistolaires et de poèmes, l’œuvre nous amène ailleurs pour mieux réfléchir. Le roman nous fait découvrir que, parfois, les réponses ne sont pas dans les décalages horaires, mais dans les décalages du cœur.
Tina Laphengphratheng, Journal Le Mouton Noir
La justesse discrète des dialogues et des sentiments a de quoi épater le lecteur ou la lectrice. Un livre sur le temps qui passe, la transmission entre générations, et les liens à la nature.
Librairie-Café Le temps qu'il fait
Un premier roman qui offre un beau voyage intergénérationnel.
Lu&Co
À inscrire d’urgence sur votre liste de livres à lire pour le déconfinement !! Les falaises, merveilleux premier roman de Virginie Dechamplain, une écriture poétique et tendue autour d’une lignée de femmes fortes qui se pensent d’ailleurs et reviennent ici... Un très très beau roman sur les liens de mère à fille, notre place au monde et la quête de soi... Une lecture en vertige et sur le fil dans ces paysages sauvages et indociles.
Au Fil des Pages
C’est un roman brut, poétique et sensuel. [...] C’est un (premier) roman envoûtant, à la beauté sauvage et au langage qui vient te prendre par le cœur.
Histoires d'en lire, Chroniques d'une lectrice
J’ai une relation toute particulière avec le fleuve, les marées, l’odeur du vent salé, ayant passé mon enfance et mon adolescence tout près du Saint-Laurent. C’est devenu au fil du temps une échappatoire à portée de main. C’était tout quitter, mais à deux pas de la maison. Le temps coule différemment, là-bas, quand on n’a rien d’autre à faire que d’être en vie. C’est un terreau fertile au calme et à la rage, à tout ce que la réflexion implique. C’est une façon d’exister avec le monde de laquelle je ne peux pas me détacher et qui fait sans doute partie des choses que j’ai laissées à ma narratrice. La nature lui permet de mieux parler d’elle et l’influence beaucoup dans ce qu’elle ressent.
Entrevue menée par Isabelle Beaulieu, Revue Les libraires
Virginie DeChamplain possède une plume poétique, tempétueuse et authentique, qu’elle déploie telle l’onde puissante. Elle exprime l’héritage de femmes qui ont eu soif de l’ailleurs et qui ne se rejoignent que dans la mémoire, laissant à celle qui reste la force de s’émanciper.
Chantal Fontaine, Librairie Moderne - Division livres, (Saint-Jean-sur-Richelieu)
L’auteure signe un roman émotif, personnel, d’une puissance qui transcende la simplicité des mots, mais dont l’impact résonne des jours après avoir tourné la dernière page. [...] Un récit de femmes bercées de nostalgie, de souvenirs d’une enfance instable, mais aussi d’un amour immense que les déchirures de la vie ne pourront jamais endiguer. Virginie DeChamplain, une plume actuelle et sensible. À découvrir.
Germain Morin de L'Exemplaire
LES FALAISES est ainsi un récit de filiation et, surtout, de transmissions, qui illustre un mécanisme connu auquel peu échappent : on transmet ce qu’on est et ce qu’on fait, bon gré mal gré, non ce qu’on souhaite. Claire ne voulait pas que sa fille devienne une ombre, comme elle, comme les femmes de son village : elle est devenue un coup de vent. C’est une transmission ratée, avortée. Au contraire de celle qui s’opère par le truchement de ses cahiers : l’histoire, racontée, prend sens dans la lecture de la narratrice, qui peut commencer à défaire les nœuds – telle est la vertu des histoires.
La Cause Littéraire
[...] une écriture enthousiasmante qui transcende la petite chose intimiste.
Marie-Laure (Kirzy) sur Babelio.com
Ce premier roman remarquable de Virginie DeChamplain dépeint avec sensibilité, mais de façon réaliste, la difficile communion entre trois générations de femmes que tout assemble pourtant! Il y est question d’affiliation et de racines. Où les planter pour se sentir vraiment chez soi, surtout quand tout ce que l’on désire c’est d’être ailleurs?Les falaises, c’est un grand voyage poétique, beau et mélancolique… L’autrice nous transporte de la Gaspésie à l’Islande par les flots marins, les grands vents salins et les tremblements de la vie… Une jeune écrivaine à suivre!
Billy Robinson, La Librairie de Verdun
Quiconque déciderait de caboter dans les eaux âpres mais poétiques de ces premiers romans [...] y trouverait au bout du compte un ancrage durable. Ne secouez pas de tels lecteurs: ils sont probablement pleins de larmes.
Anne-Lise Remacle, Le Vif/L'Express | Belgique
En tension constante entre les petits espaces qui enferment et les grands espaces qui pansent les plaies, LES FALAISES est un premier roman qui bouleverse: la justesse de la difficulté du deuil, la tension entre l’ailleurs et le familier, sont renforcées par la puissance de la langue et du québécois. Une autrice à suivre absolument!
Mathilde Ciulla, Untitled Magazine
Une lecture hypnotisante, à l'écriture éblouissante, dont on ressort sonné par tant de beauté.
Morgane, Librairie Les Arpenteurs
Virginie DeChamplain a su faire de ce périple intime une odyssée universelle. Elle parvient à donner une couleur inédite au thème de la filiation douloureuse. Ce récit, écrit sur le fil du rasoir, est traversé par une énergie brute, mais la tension est apaisée par des passages d’une grande poésie, véritables respirations.Un texte hypnotique qui se lit en apnée.
Virginie, Le Forum du Livre 
Un roman sauvage qui t'embarque, te happe, au langage direct, puissant, sensuel et poétique.
Pauline Dehouck
Bookalicious propose un café avec la romancière Virginie DeChamplain.
Bookalicious
J’ai longtemps cherché les premiers mots pour ce billet. Je ne savais pas quoi vous dire, j’avais juste envie de vous tendre ce livre pour que vous le lisiez à votre tour.
Mes Pages Versicolores 
L’écriture de Virginie DeChamplain est une vague magnifique qui se fracasse en plein ventre.
Shana Paquette, Nuit blanche magazine littéraire
Il y a le rythme, la fraîcheur, le rythme encore, les ruptures, la fluidité, la poésie, la musicalité. Tout ça à la fois, dans une langue avec ses hachures, ses tournures, ses sourires, ses à-côtés ; l’ensemble, très exactement posé là, sans excès, sans paraître, mais avec une émotion brute qui vient littéralement, viscéralement, prendre aux tripes.
Julie à mi mots 
LES FALAISES fait le récit d’un chaos à dompter, d’un grand voyage onirique, historique et féminin, qui de la Gaspésie à l’Islande réunit ces survivantes de mère en fille qui admettent difficilement être de quelque part, préférant se savoir ailleurs et se déraciner à volonté.
Champagne & Confetti
Les falaises, c'est un roman qui surprend, qui envoûte, et qui nous raconte, dans une langue poétique et abrupte à la fois, au cœur d'une Gaspésie sauvage, l'histoire d'une femme en quête de racines, d'identité et de renaissance.
Librairie du Tiers Temps
Virginie DeChamplain signe un premier roman à la voix originale et sensible. Une oeuvre sagement divisée pour nous permettre de respirer entre les vagues.
Marc-Étienne Brien, Biblairie GGC (Comité Roman-Nouvelles-Récit québécois :Prix des libraires du Québec)
L’action se déroule principalement en Gaspésie et un peu en Islande. Une femme apprend la mort de sa mère en Gaspésie. De retour dans la maison familiale, elle se replonge dans la vie de sa mère et de sa grand-mère qu’elle n’a jamais connue. C’est un univers très féminin. La langue orale utilisée par l’autrice est très belle, très bien maîtrisée. Il s’agit d’un premier roman coup de cœur que nous poussons beaucoup à la librairie.
La Presse - Antoine Peuchmaurd, libraire à la Librairie Le Port de tête
Pascal Raud et Julie Collin suggèrent LES FALAISES de Virginie DeChamplain dans l'émission Bouquins & Confidences | CKRL 89,1.
Bouquins & Confidences | CKRL 89,1
Ce roman est bouleversant. J'ai été soufflée par son écriture poétique sensuelle et vraie.
Julie Niquette, L'info du Nord Mont-Tremblant
Virginie DeChamplain remporte le prix Jovette-Bernier 2020.
Julie Tremblay, ICI Bas-Saint-Laurent
Virginie DeChamplain a construit un roman de filiation où trois générations de femmes souffrent d’enfermement et cherchent inlassablement une issue vers une paix intérieure", indique le directeur général du Salon du livre de Rimouski, Robin Doucet, en reprenant les mots du jury pour expliquer son choix. "Sa prose est empreinte d’une remarquable poésie empruntant parfois la forme d’une lettre ou d’un poème."
Johanne Fournier, Le Soleil
Un roman puissant, glacé et émouvant.
Le blogue My lou book
L’âpreté du paysage gaspésien se fond aux états d’âme de V., dont la mère vient de se suicider, rejetée par les eaux du Saint-Laurent. Pourquoi ? Installée dans la maison maternelle, V. remonte le passé, et l’on se sent puissamment emporté par les vents, les vagues, les tempêtes.
Josée Boileau, Journal de Québec
[...] introspectif mais surtout, incroyablement sensible et touchant.
Librairie L'Alphabet
C’est un roman fictif sur la filiation, mais l’autrice reconnait que certains aspects du roman sont teintés de son expérience personnelle, notamment la relation avec sa propre mère.
La Recrue
Une lecture envoutante qui nous touche en plein cœur.
Angéline, le blog Narre ton livre

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